Au milieu d’un jardin Parmi autant de couleur Mon attention est captivée Par une seule fleur Une fleur délicate
Parfois de crépuscule pleine Avec la lune sur le cœur, J’ai l’âme flottante et sereine Du jour qui meurt. Je vis sans rêve, sans pensée,
Oui, mon pays est encor France : La fougue, la verve, l’accent, L’âme, l’esprit, le coeur, le sang… Tout nous en donne l’assurance : La France reste toujours France.
Contrerime XXXIII. D’une amitié passionnée Vous me parlez encor, Azur, aérien décor, Montagne Pyrénée,
Tiens non ! J’attendrai tranquill… Planté sous le toit, Qu’il me tombe quelque tuile, Souvenir de Toi ! J’ai tondu l’herbe, je lèche
Depuis que de mon Dieu la bonté p… Baigna mon cœur enfant de tendress… Alluma le désir au fond de ma prun… Et me ceignit le front de pudiques… Et qu’il me dit d’aller vers les f…
L’ANGE DE POÉSIE. Éveille-toi, ma sœur, je passe prè… De mon sceptre divin tu vas subir… Sur toi, du feu sacré tombent les… Je caresse ton front de l’azur de…
amour que j’ai pour toi est comme un siècle oublier mais y a toujours un objet ou un souvenir qui me rappelle de toi mais je vais refouler mes sentiment et tout lrs souvenirs que j’ai d...
un âme de poète Depuis longtemps je rédige mes pen… Poète je suis devenu, ce qui me fa… Mes écrits sont joyeux ou malheure… Tristes et mornes, ou heureux et t…
Le plaisir mystique et païen, L’amour, la beauté, le désir Ont fait plus de mal que de bien À mon âme qui s’en revient Lasse d’aimer et de souffrir.
Audrey La femme de mes rêves est bien cha… Voilà que nos coeurs sont enfin ré… Dans ses yeux s’agitent des flamme… Dans les miens brille enfin l’amou…
C’est le petit dauphinois . C’était le silence des murs blancs… C’était le vieux brigand des chemi… Connu sous le nom .. Condor . Une cicatrice sous l œil gauche .
En la nef de bonne nouvelle Espoir a chargié Reconfort Pour l’amener, de par la belle, Vers mon cueur qui l’ayme si fort. A joye puist venir au port
Joh Mera Hissa Woh Apne Saath L… Ussey Woh Apna Mukammal Jahan K… Yuh Toh Mujhse Mujhiko Churake… Khushnaseeb Hain Woh Jinse Woh… Yuh Toh Phir Mukammal Apna Jaha…
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Caliste, en cet exil j’ai l’âme si… Qu’au tourment que je souffre il n… Et ne saurais ouïr ni raison ni co…
Une source descend de la roche bru… Les filles de Plomar viennent lav… Aux coups vifs des battoirs se mêl… Que fait le flot, et c’est une for… Comme devant l’autel sur la dalle…
Un Malheureux appelait tous les j… La mort à son secours. O mort, lui disait-il, que tu me s… Viens vite, viens finir ma fortune… La Mort crut, en venant, l’oblige…
Comment disparaître quand nous som… par tous ? Ton âme n’est vue que par toi-même… Cependant, je souhaiterais la cont… Si tu voulais bien me la montrer.
On dit que tout passe par le regar… À la recherche de mon temps perdu,… Au bal de l’hypocrisie, vous porte… Lorsque l’on vous côtoie, nous y l… La spontanéité a décidé de mainten…
Je le dis sans blesser personne, Notre âge n’est point l’âge d’or : Mais nos fils, qu’on me le pardonn… Vaudront bien moins que nous encor… Pour peupler la machine ronde,
Je devais par la Royauté Avoir commencé mon Ouvrage. A la voir d’un certain côté, Messer Gaster en est l’image. S’il a quelque besoin, tout le cor…
Voici quatre-vingts ans,—plus ou m… On plutôt un vicaire, au comté de… Vivait, chétif et pauvre, et père… C’était un de ces cœurs dont l’exc… Sur le front, dans les yeux, dans…
Entends-tu ce long bruit doux comm… Ce cri qu’à l’univers arrache le g… Trop longtemps combattu, Cri tout d’un coup sorti de la fou… Et qui porte à la gloire un nom de…
Levez les yeux ! C’est moi qui pa… Diaphane et léger, libre dans le c… L’aile ouverte, attendant le souff… Je plonge et nage en plein azur. Comme un mirage errant, je flotte…
À Cyprien Girerd. LE POÈTE. Philosophe aussi pur que les sages… Si tu daignes m’entendre, écoute e… Les poètes n’ont plus les accents…
Avec mes vieilles mains de ton fro… J’écarte tes cheveux et je baise,… Pendant ton bref sommeil au bord d… La ferveur de tes yeux, sous tes l… Oh ! la bonne tendresse en cette f…
C’est mon histoire . J adore les hommes nus .. le soi… Être baisé .. le plaisir de la nu… Se faire enculé .. la belle poési… J adore le gland crémeux et vigour…
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Ainsi, déjà lassées De mon toit familier, Ô mes douces pensées, Vous quittez, insensées. L’asile hospitalier ?
Les paysages froids sont des chant… Et les jardins de mai de languides… Qui chantent doucement les péchés… Et mènent les amants à de douces c… Les paysages froids sont des chant…
C’est a Our que vivait ce garçon… a l’esprit aurifique, vif et sans… son corps miraculeux était un vrai… né d’un prince et d’un dieu dont i… La marche des petits souliers de s…
Veux-tu, jeune étranger, habiter n… Veux-tu fixer tes pas sous ce ciel… Viens là-bas avec moi sous ces pal… Viens, je révélerai mes charmes à… Sais-tu ce qu’est l’amour aux clim…
« A quoi songes-tu donc de t’engou… Serais-tu désormais à ce point rad… Géant qu’on disait si farouche ? Depuis plus d’un long mois, à quoi… D’être là, somnolent, de languir a…
D’où vient ce tourment plein de ch… Qui trouble mon cœur abattu ? Je cherche, et je n’ai rien perdu… Mais pour qui donc coulent mes lar… Douleur que j’aime est avec moi ;
Toi qui vas, par la grise Armor, Maudissant l’amour et ses fièvres, Les violettes de la mort Fleuriront bientôt sur tes lèvres. Encore une heure, encore un pas,
Lienzos de espinas se enredan dent… Sofocan – Asfixian – Dan placer. La sensación, sucumbo ante el dolo… ya no soy nada. Cálidamente me abraza como una ama…
Quand du sort inhumain les tenaill… Du milieu de mon corps tirent crue… Mon coeur qui bat encor’ et pousse… Abandonnant le corps, ses plaintes… Que je sens de douleurs, de peines…
Voici venu le froid radieux de sep… Le vent voudrait entrer et jouer d… Mais la maison a l’air sévère, ce… Et le laisse dehors qui sanglote a… Comme toutes les voix de l’été se…
Je m’appuierai si bien et si fort… D’une si rude étreinte et d’un tel… Qu’avant que la douceur du jour me… Elle s’échauffera de mon enlacemen… La mer, abondamment sur le monde é…
Terre, dont les âpres rivages Et les promontoires géants Refoulent les vagues sauvages Que soulèvent deux océans ; Terre qui, chaque avril, émerges,
Contrerime II. Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver Comme une rouge nue Où déjà te dessinait nue L’arôme de ta chair ;
Pourquoi, du doux éclat des croyan… Vouloir éteindre en moi la dernièr… Pourquoi, lorsque la brise à l’aur… Me dire de rester pleurante sur la… Pourquoi, lorsque des fleurs je ve…
L’enchantement lunaire endormant l… Et le jour s’éloignant sur la mer… Comme une barque d’or nombreuse d’… J’ai rassemblé, d’un mot hâtif, me… Mes brebis et mes boucs devenus ta…
(Au sommet du Glenroe *). Ayant monté longtemps d’un pas lou… Les rampes, au sommet désiré du vo… Près du chemin gravi, bordé de fin… Oh ! qui n’aime à tomber d’un cœur…
(Sur la mort de Mgr. le duc d’Orl… 1611. Consolez-vous, madame ; apaisez vo… La France, à qui vos yeux tiennen… Ne dormira jamais d’un paisible so…
C’est le même sentier qui longe la… L’yeuse encore y pousse et la fraî… Et l’air qu’on y respire aux lisiè… Brille aussi transparent, aussi pu… Autrefois !... mot pétri d’amertum…
Sonnet. Que de fois, près d’Oxford, en ce… Ou l’on voit fuir sans fin des col… Des bruyères couper des plaines ar… La rivière qui passe et le vivier…
La royale Damas, sous les cieux c… Dans la plaine embaumée et qui som… Parmi les caroubiers, les jasmins… Monte comme un grand lys empli de… L’orient se dilate et pleut en ger…
Notre maison est seule au creux de… Où le chant d’une source appelle d… Où le bout de jardin plein de légu… La roche qui nous tient dans son â… Septembre laisse choir sur les mol…
Bel orgueil qui logez au sein des… Et qui soufflez ainsi que le vent… Afin qu’aujourd’hui soit sans détr… Bandez mon cœur penchant contre l’… Faites que mon cœur soit héroïque…
Bercés d’un fol espoir, nous aimio… Le cœur ému d’amour aux accords de… Pour nous seront ses chants, Au pays bien-aimé seront les fleur… Mais Christ le conviait aux hymne…
Souvent le cœur qu’on croyait mort N’est qu’un animal endormi ; Un air qui souffle un peu plus for… Va le réveiller à demi ; Un rameau tombant de sa branche
Mets les mains sur mon front où to… Lutte comme un oiseau, Et perpétue, ainsi qu’au creux des… Le tumulte des eaux. Ferme mes yeux afin qu’ils soient…
La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
A C*** (En lui demandant les œuvres d’un… Muse qui possédez au cœur ce saint… Dont le ciel généreux enrichit ceu… Lisez, lisez des vers ; mais plus…
Appareillage d’un brick corsai… « Quand… L’on ai… Cent vingt corsairiens, gens de co… À bord de la Mary-Gratis, ont mis…
Ce que l’on voit dans le temps où… Ne peut manquer d’attrister le reg… Tels nains grandis pensent être de… Et tout est faux en ce siècle bâta… La courtisane, après la quarantain…
Depuis de longs jours, l’ouragan q… Va nous emportant sur l’Océan noi… Bien loin de la rive où je vins au… Pour des maux que nul n’eût osé pr… Le mât du vaisseau, que bat la tou…
(Pour les hommes.) Si tu te plains que ta femme est t… L’ayant gardée trois semaines en t… Attends un an, et tu perdras à cou… L’occasion de t’en plaindre à pers…
Plus mille fois que nul or terrien… J’aime ce front où mon tyran se jo… Et le vermeil de cette belle joue, Qui fait honteux le pourpre Tyrie… Toutes beautés à mes yeux ne sont…