Là-Haut Aujourd’hui la neige tombe lenteme… Je me retrouve seul, il est parti… Là-Haut en ta présence durant l’é… Cet ami en qui j’ai apprécié l’ami…
Épigramme. Le bossu dit au boiteux, chancelan… Comme un bateau qu’on pourmeine (*… Ô que tu sais des nouvelles, galan… Toi qui toujours vas de coté et d’…
Loin du méchant qui sut lui plaire Ismène goûtait le repos : Elle avait retrouvé sa mère ; Elle avait oublié ses maux. Tandis qu’au fond d’un bosquet som…
L’invention des arts étant un droi… Nous devons l’apologue à l’ancienn… Mais ce champ ne se peut tellement… Que les derniers venus n’y trouven… La Feinte est un pays plein de te…
¡ Joyeux Anniversaire ! ¡ Joyeux Anniversaire ! ¡ Joyeux Anniversaire ! ¡ Joyeux Anniversaire ! ¡ Es 9 de Enero en París ! No era cualquier día, era el día de cumpleaños de Colette. Evi...
Mourir dans la buée ardente de l’é… Quand parfumé, penchant et lourd c… Le coeur, que la rumeur de l’air b… S’égrène en douloureuse et douce v… Mourir, baignant ses mains aux fra…
Oh ! les mauvais dîners charmants Couvrant un seul bout de la table, Les faciles raffinements, Et le bonheur inévitable ! C’était trop chaud, c’était trop f…
Femme, tu es jolie Toi seule en est le prix ! Levée dès le matin C’est dans la salle de bain, Tu regardes le miroir
Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…
A l’aube d’une rencontre A l’aube d’une nuit de songes Ou à l’aube du songe d’une nuit d’… Un amour qui s’écrirait à l’encre… Et se conjuguerait au présent de l…
Je plains les exilés qui laissent… L’amour et la beauté d’une amante… Mais ceux qu’elle a suivis au dése… Ils ont avec la femme emporté la p… Ils retrouvent le jour de leur pay…
Quand je mourrai, que ce soit chez… Que ce soit à l’automne, un soir c… Où vos feux d’écobue étoilent la c… Et font d’elle un immense et mysti… Leur fumée un moment hésite sur la…
C’est l’heure : je sais bien qu’el… Qu’elle n’a pas noué la furtive de… Et que mon désir vain ne dira pas… Devinant la musique exquise de ses… Je sais que les doux mots qu’avait…
(Épitaphe de la mère de l’auteur.) Épouse d’un mari doux, simple, off… Par la même douceur je sus plaire… Nous ne sûmes jamais ni railler ni… Passant, ne t’enquiers point si de…
Bien que la guerre soit âpre, fièr… Et qu’un douteux combat dérobe la… Que de deux camps mêlés l’une et l… Perde son espérance, et puis la re… Enfin, lors que le champ par les p…
Quand, au bord de chemin, vient la… Elle hésite un instant avant de le… Elle voudrait cacher sa course fug… Redoutant le chasseur qui la pourr… Dans ses grands yeux scintille une…
Une aube de douceur s’éveille sur… Le printemps de Bretagne a fleuri… Les cloches de Ker-Is l’ont dit j… Aux pâles « En-Allés » qui ne rev… Nous aussi qui vivons et qui mourr…
HÉRITAGE Je pars et je vous laisse ces sile… Silences des flammes et des rigueu… Qui précédent rêves et nostalgies… vaines alternatives
Quand tu n’auras plus ton beau sei… Ni la douceur de ton haleine, Ni l’éclat rose et le dessin De ta joue adorable et pleine, Alors je serai presque vieux :
Adieu beauté, parure du jeune âge, Bientôt l’hiver va neiger sur mon… La main du temps qui ride mon visa… Chaque matin me réserve un affront… De noirs cheveux j’ai beau parer m…
La poésie, c est la passion . J écris des mots passants à la mai… Des articles sur l actualités . Sur les faits divers .. déroulés… Un conflit pour une histoire d eau…
Il chante encor, l’essaim railleur… Bien protégé par l’épine et le hou… Que le zéphyr caresse par bouffées… Diane aussi, l’épouvante des loups… Au fond des bois cache son cœur ja…
Du chef-d’œuvre toujours un cœur f… L’art, au fond, n’est qu’amour. P… Soit qu’on ait la palette en main… Il faut une âme ardente et qu’un c… Après tout, tes enfants ne sont po…
Cache mon mistral, de cette grande… La peur est si petite, face à ce g… Que je ne saurai nier, ni laisser… Il me porte au sommet, de ce que j… Me fait tant dévaler, de pente si…
Sauf le… qui veulent commencer par la fin i… a tant de choses qui finissent par… commencement que le commencement commence à finir par être la fin l…
Il est une âme enfin que comprend… Mon âme ranimée, échappant aux enn… Car mes regards ont vu cette femme… Que j’avais tant rêvée en mes plus… Petits oiseaux, venez près d’elle
Si le doge est son père, ou si c’e… C’est ce dont, pour ma part, je m’… Dès qu’elle a pris naissance, il n… Que ce soit à Venise, ou dans Nap… Elle est belle, voilà l’intéressan…
Une princesse, au fond des bois, A dormi cent ans autrefois, Oui, cent beaux ans, tout d’une tr… L’enfant, dans sa fraîche retraite… Laissait courir le temps léger.
Des mille amants que j’ai eus Et des mille amants que je n’ai pa… Tu es le seul qui m’a inspiré mill… Et alors qu’aucun de mes sens ne t… Et que tu ne m’as offert que ton a…
Amours des bas-reliefs, ô Nymphes… Qui, sur l’Ida nocturne, au bruit… Les fronts échevelés en tresses pr… Dansiez en agitant vos crotales d’… Vous, plus belles déjà que ces fil…
Quand le Poète en pleurs, à la ma… Poursuivant les beautés dont son c… À travers les rochers, les monts,… Les nuages, les vents, mystérieux… S’élance, et plane seul, et qu’il…
À une dame châtelaine. (Pour la construction d’une serre.… Pauvre fleur, qu’un rayon du solei… Pauvre fleur, dont les jours n’ont… Il me faut, au printemps, le solei…
Reliées par la mer On se rencontre très petites Puis sur les vagues on erre Cherchant notre pépite Tu es attirée par les phares
L’infini tout entier transparaît s… Que lui tissent les doigts des hiv… Et la forêt obscure et profonde de… Laisse tomber vers nous son feuill… La mer ailée, avec ses flots d’omb…
Par un mobilisé du Morbihan.… Moral j… (Off.) Qui nous avait levés dans le Mois… Et parqués comme des troupeaux
Sur un livre de fleurs qu’il avait… 1602 ou 1603. Quelques louanges nonpareilles Qu’ait Apelle encore aujourd’hui, Cet ouvrage plein de merveilles
Oui, je suis proprement à ton nom… Le temple consacré, tel qu’en Tau… Fut celui où le sang apaisait ton… Mon estomac pourpré est un pareil… On t’assommait l’humain, mon sacri…
Que veux-tu répondre au vent qui s… Au vent qui te dit le chagrin des… Le trépas des lis, des lilas, des… Et des clairs essaims gelés dans l… Que veux-tu répondre au vent qui s…
Qu’à peu de gens convient le Diadème.Recueil : Les fables du livre VI (167...
Ô rêves de jeunesse, éblouissant m… Qui vous arrachera de mon cœur épe… Qu’étaient donc ma raison, ma forc… Qu’ils aient fui pour un mot dans… Amour ! oh ! c’est bien toi dont j…
Quel bon serviteur Que cet ascenseur Qui monte et qui descend Une foule de gens Parfois méfiants
Dans la soudaine nuit d’une jarre… Plongé par des enfants cruels, ce… Regrettant le natal azur et la lum… Remplit d’un délicat bruit d’ailes… Ainsi, captive au creux d’une form…
Que je repose en toi, mon beau log… Dans la nuit de ton cœur sur mon ê… Tu seras mon tombeau. Oubliant le… Ombre, je vais descendre, en ton o… Tu seras mon tombeau. Enfin je va…
merci Ô Dieu, merci mon Dieu, De nous rendre tous joyeux, Nous rassemblant ici, Dans une paisible vie.
Les montagnes Si hautes et si gracieuses qu’elle… Espérant toucher un toît du monde… Les dames blanches se dressent com… Des sommets, elles veillent comme…
Il est un arbre fier, droit, austè… Que n’aime pas l’oiseau, ni la fle… Ni la vigne flexible aux rameaux c… Floréal le dédaigne & brumaire l’o… Et jamais on ne voit que la tempêt…
La source coule sur le sable coura… Le petit ruisseau continue son voy… Petites fleurs pâquerettes et autr… Les petites grenouilles osent sort… Cette chaleur douce dans ce coin d…
De la Renommée du Roi Henri le G… Ballet de la Reine, dansé au mois… Pleine de langues et de voix, Ô roi, le miracle des rois, Je viens de voir toute la terre,
Sonnet. Rondement, Mathurin Mène dans sa carriole La Dame qui s’affole De filer d’un tel train.
Les ailleurs d’un délire **** Ahmed Khettaoui/ Algérie **** Pourquoi lorsque je déterre mes dr…
Je veux vivre seul avec toi Les jours de la vie âpre et douce, Dans l’assurance de la Foi, Jusqu’à la suprême secousse. Je me suis fait une raison
Sous l’épais sycomore, ô vierge, o… Dans le jardin fleuri, tiède et si… Pour goûter la saveur de tes lèvre… Un papillon d’azur vers toi descen… C’est l’heure où le soleil blanchi…
La nuit enveloppait les sept Mont… Dans l’oratoire clos, le Pape Inn… Mains jointes, méditait, vêtu de b… Ou se détachait l’or pectoral de l… Du dôme surbaissé, seule, une lamp…
Il n’est pas mort, Ami, ce poète… Il n’est pas mort, Ami, tu le dis… II ne dort pas, il veille, étince… La flamme, je l’étouffe, et je ret… Que dire et que chanter quand la p…
Laborieux valet du plus commode ma… Qui pour te rendre heureux ici-bas… Antoine, gouverneur de mon jardin… Qui diriges chez moi l’if et le ch… Et sur mes espaliers, industrieux…
Tableau VI. Dans cette alcôve solitaire Sans doute habite le repos : Voyons. Mais ces doubles rideaux Semblent fermés par le mystère ;
Parfois, c’est vraiment épuisant, C’est, comme un vil étouffement, C’est, comme l’emprisonnement, Parfois, c’est vraiment accablant. Ce monde-là d’obligations,
Quand j’aurai bien souffert de mon… Qui contenait le rythme et les ray… Sans l’avoir jamais vue, en des pl… Des hommes la cloueront, ironique… Car ce que j’ai chanté n’est encor…
Contrerime XL. L’immortelle, et l’oeillet de mer Qui pousse dans le sable, La pervenche trop périssable, Ou ce fenouil amer
(Sur une statue d’enfant.) rightDivini opus Alcimedontù.—Vir… L’enfant ayant aperçu (À l’insu De sa mère, à peine absente)