Tant de forêts arrachées à la terr… et massacrées achevées rotativées Tant de forêts sacrifiées pour la…
Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs un jardin des fleurs un sculpteur qui sculpte des Napoléon la fleur qu’on appelle aussi deux amoureux sur un grand lit un receveur...
pensées éboulis d’abris rêves-boiteries désirs segments de sarments (une combinatoire qui s’excède) rien de tout cela n’a la force d’a…
Les yeux comme des trous Et les mamelons hérissés Par les mains du vent La mer salive Et abandonne ses cimetières
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Tandis qu’à leurs oeuvres perverse… Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. Pour les petites pâquerettes,
En ces temps merveilleux où la Th… Fleurit avec le plus de sève et d’… On raconte qu’un jour un docteur d… —Après avoir forcé les coeurs indi… Les avoir remués dans leurs profon…
Sonnet. Sous ces arbres chéris, où j’allai… Pour cueillir, en passant, seul, u… Sous ces arbres charmants où votre… Disputait au printemps tous les pa…
L’espoir divin qu’à deux on parvie… Et qu’à deux on partage, L’espoir d’aimer longtemps, d’aime… Chaque jour davantage ; Le désir éternel, chimérique et to…
Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! La boule de neige
Elle est retrouvée. Quoi ?– L’Eternité. C’est la mer allée Avec le soleil. Ame sentinelle,
L’homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et rich… Qu’il faut qu’il remue et défriche Avec le fer de la raison ; Pour obtenir la moindre rose,
Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou Sous l’arbre tendronnier qui bave, Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
Le soir, Ges oiseaux qui se parlent, indéfi… Qui se mordent, lumière. La main qui a bougé sur le flanc d… Nous sommes immobiles depuis longt…
Louis XIV qu’on appelait aussi l… était souvent assis sur une chaise… vers la fin de son règne une nuit où il faisait très sombre le Roi Soleil se leva de son lit
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
Beaucoup d’eau a passé sous les po… et puis aussi énormément de sang Mais aux pieds de l’amour coule un grand ruisseau blanc Et dans les jardins de la lune
Où je vais, d’où je viens. Pourquoi je suis trempée. Voyons, ça se voit bien. Il pleut. La pluie, c’est de la pluie
Au milieu, l’Empereur, dans une a… Bleue et jaune, s’en va, raide, su… Flamboyant ; très heureux,– car il… Féroce comme Zeus et doux comme u… En bas, les bons Pioupious qui fa…
Larmes aux fleurs suspendues, Larmes de sources perdues Aux mousses des rochers creux ; Larmes d’automne épandues, Larmes de cors entendues
De sa profonde mère, encor froide… Voici qu’au seuil battu de tempête… Amèrement vomie au soleil par la m… Se délivre des diamants de la tour… Son sourire se forme, et suit sur…
Un homme entre chez une fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent
Boulevard de la Chapelle où passe le métro aérien Il y a des filles très belles et b… Les clochards affamés s’endorment… De vieilles poupées font encore le…
Une nuit que j’étais près d’une af… Comme au long d’un cadavre un cada… Je me pris à songer près de ce cor… À la triste beauté dont mon désir… Je me représentai sa majesté nativ…
Mon arbre. Sous le mûrier platane, en été, do… Où l’ombre bienfaisante apaise not… Son feuillage éployé offre un toit… Un havre rafraîchissant aux heures…
La confusion morose Qui me servait de sommeil, Se dissipe dès la rose Apparence du soleil. Dans mon âme je m’avance,
Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plu… Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on souffre est u… Confucius l’a dit ; suivons tous s…
Sonnet. Non, quand bien même une amère sou… Dans ce cœur mort pourrait se rani… Non, quand bien même une fleur d’e… Sur mon chemin pourrait encor germ…
J’en ai vu un qui s’était assis sur le chapeau d’un autre il lui était absolument impossible de faire un geste ou de parler et l’autre l’autre qui cherchait « son » chapeau était plus p...
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
La rivière bourgeonne Dans l’orchestre des becs Son cours se libère Des griffes des crues. Les racines noyées
C est la palette des mots . C est un article sur la colonne du… Tu vois .. le sulbaterne est assis… Fumant sa cigarette en écoutant la… Le sarrois .. sur le point d appui…
Faut savoir interroger leur double quitte à ne voir l’heure qu’à leur… qui n’est pas sans rapport avec la… faut apprécier leur sans-gêne l’ivresse étant qu’ils s’installen…
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
Sur un trône de paille un cheval couronné un âne le fait rire vêtu comme un jockey Devinettes aimables
Un feu distinct m’habite, et je vo… La violente vie illuminée entière.… Je ne puis plus aimer seulement qu… Ses actes gracieux mélangés de lum… Mes jours viennent la nuit me rend…
Ce ne sont qu’horizons calmes et p… On voit sur les coteaux des chasse… Le reste du pays, sous le ciel gri… Est une plaine avec une église au… Un lierre monstrueux à tige arbore…
Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
(Sur la mort d’Iris en 1654.) Parmi les doux transports d’une am… Je voyais près d’Iris couler mes… Iris que j’aime encore, et que j’a… Brûlait des mêmes feux dont je brû…
Ma petite lionne Je n’aimais pas que tu me griffes et je t’ai livrée aux chrétiens Pourtant je t’aimais bien Je voudrais que tu me pardonnes
Blog Poésies Lacheteau .. 4 Colonnes. 5 Chapitres . 6 Rubriques . 7 Articles .
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Le soleil gît sur le sol Litre de vin rouge brisé Une maison comme un ivrogne Sur le pavé s’est écroulée Et sous son porche encore debout
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
Entendez-vous Entendez-vous gens du Viet-Nam entendez-vous dans vos c… Oui nous les entendons Ces êtres inférieurs
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
L’invention des arts étant un droi… Nous devons l’apologue à l’ancienn… Mais ce champ ne se peut tellement… Que les derniers venus n’y trouven… La Feinte est un pays plein de te…
Anne qui se mélange au drap pâle e… Des cheveux endormis sur ses yeux… Mire ses bras lointains tournés av… Sur la peau sans couleur du ventre… Elle vide, elle enfle d’ombre sa g…
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
Parmi l’arbre, la brise berce La vipère que je vêtis ; Un sourire, que la dent perce Et qu’elle éclaire d’appétits, Sur le Jardin se risque et rôde,
C’est les bulles du jeudi . Quelques mots pour la poésie . Du champagne est servit dans la… Le roy Manuel resteras sur la ser… Les sept sages iront tous au comba…
Nos cheminées sont vides nos poches retournées ohé ohé ohé nos cheminées sont vides nos souliers sont percés
Qui plus ? Où est le tiers Calixt… Dernier decedé de ce nom, Qui quatre ans tint le Papaliste… Alphonse, le roy d’Aragon, Le gracieux duc de Bourbon,
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires