Ta bouche a deux façons charmantes… Deux charmantes façons : le rire e… Si vous voulez savoir celle que je… J’aime mieux celle-ci, mais l’autr…
C est la rubrique du Samedi . C est un article .. des jeux des… Pons et joker .. combien de maux… Qui est la star de l arnacoeur . Le scénario de l hameçon à la voix…
Après le travail .. les copains v… Et le poète adorait regarder les m… Le plaisir de branler et de pomper… Les belles .. les bonnes bites ép… Le plaisir d avaler la semence ..…
Dans le ciel clair rayé par l’hiro… Le matin qui fleurit comme un divi… Parfume la feuillée étincelante et… Où les nids amoureux, palpitants,… A la cime des bois chantent à plei…
J’ai besoin de silence... oh ! ne… J’écoute au fond de moi le murmure… Et j’entrevois au loin, sous les v… La Provence éclatante et chaude q… Un souffle amer, pesant, me traver…
Quand j’admire tes nobles cheveux… Et que là je m’éprends de ta perfe… Mon cœur soumis est en pleine détr… Tant il se consume de passion. Un raz de marée s’y déroule,
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Margot, qui en riant se mordait le… Tant la bouche elle avait d’une én… À Robin, qui avait le nez grand à… Reprochait que son nez était un af… Puis fiez-vous, dit-elle, au prove…
À chaque jour suffit sa peine ; Mais ôte, avant le soir venu, Le plus possible à l’inconnu, Car chaque jour sa tâche amène : Fais tout ce qu’aujourd’hui tu peu…
Quand la mer me prend le cœur Un jour d’automne à Honfleur Je suis celui qui disparaît Comme un crabe qui s’cache sous le… La mer qui perturbe nos habitudes
Fable XVIII, Livre III.… Toi, chez qui tant de sens à tant… Chez qui les préjugés n’ont jamais… Toi qui fuis en tout les excès, En tout, même en philosophie ;
Je suis la nuage blanche La feuille, l’oiseau chanteur, Tout ce que flotte de dans l’air Du vaste ciel de votre cœur Je suis la vague errant, calme
Et vos cheveux, alors, de sombres Deviennent gris, et de gris, blanc… Comme un peuple aux ailes sans nom… De colombes aux vols tremblants. Suis-je sur terre ou bien rêvè-je…
FRAGMENT. 1604. . . . . . .… L’Orne comme autrefois nous rever… Ravis de ces pensers que le vulgai…
FRAGMENTS D’UNE ODE AU ROI HENRI… 1596. Soit que, de tes lauriers la grand… D’un cœur où l’ire juste et la glo…
Fable VI, Livre II. Le crocodile en pleurs, aux animau… De la pitié vantait les charmes : « Craignez ceux qui jamais ne se s… Fiez-vous à quiconque a répandu de…
Fable XI, Livre IV. LA BOUTEILLE. L’intérêt ne peut me guider ; Je n’ai rien à moi, ma cousine, Et volontiers si je m’incline,
Toi, qui possède dans ton cœur Cette petite flamme qui danse lent… Observe le monde de ton œil éclair… Et marche seul dans la nuit Dans les rues de cette vie
Ne me lance pas d’éloges, l’imprud… Laisse tes mains dans tes poches,… Aider quelqu’un qui toc, c’est ass… Toi qui sans cesse galope, garde d… La falaise n’est pas loin, la roch…
À M. B *** Lorsqu’autrefois, au seuil des sai… Des rois, couverts d’un sac, et ba… Les reins ceints d’une corde, et l… Venaient s’agenouiller repentants…