Je déménage, un nouveau départ, solitaire et célibataire, ma présence en ce lieu inconnu me… cette ville me regarde du coin de…
Stances au Roi Henri Le Grand. 1610. À la fin tant d’amants, dont les â… Languissent nuit et jour, Verront sur leur auteur leurs pein…
L’extraordinaire téléphonie du feu… La pluie, c’est la manière rageuse… Où a-t-on pris que la pluie tombe… C’est le courage des hommes qui es… La pluie est toujours de tout cœur…
Écoutez bien : l’heure est sonnée… La dernière du dernier jour, Le dernier adieu d’une année Qui vient de s’enfuir sans retour… Encore une étoile pâlie ;
L’eau coulait au bord des prés, Loin de nos mélancolies. —Les gazons sont diaprés. Toutes les fleurs sont jolies. Tu te souviens, les oiseaux
La nuit enveloppait les sept Mont… Dans l’oratoire clos, le Pape Inn… Mains jointes, méditait, vêtu de b… Ou se détachait l’or pectoral de l… Du dôme surbaissé, seule, une lamp…
Le percepteur trouve qu’on tarde ; Il veut être payé ce soir. —J’ai quelques sous, mais je les g… Pour vous acheter du pain noir. Si je n’en porte à votre mère,
C’était un beau spectacle au milie… La lune qui sortait de ses voiles… Et qui glissait entre deux tours ; L’orage qui là-bas s’avançait dans… Le château qui voyait, de ses tête…
Faites-vous la sourde, Macée ? Voyez Combaut qui vient à vous, Pour ravoir ce que votre œil doux Lui a tiré de sa pensée. Vous l’avez, et lui ne l’a plus,
Oui, je suis proprement à ton nom… Le temple consacré, tel qu’en Tau… Fut celui où le sang apaisait ton… Mon estomac pourpré est un pareil… On t’assommait l’humain, mon sacri…
La côte se découpe en golfes où l’… Sonne, comme une trompe, aux murs… Jéricho, Un Jéricho de brume et flexible comme…
Endymion s’endort sur le mont soli… Lui que Phœbé la nuit visite avec… Qu’elle adore en secret, un enfant… Il est timide et fier, il est disc… Un charme grave au choix d’une ama…
Épigramme. Je n’aime point la dame en amour s… Puis qu’on perd sans regret ce qu’… Tels plaisirs sont plus tôt étouff… La femme et le cheval sont de même…
De la connaissance de soi-même. Esprit né pour la cour, et maître… Guilleragues, qui sais et parler e… Apprends-moi si je dois ou me tair… Faut-il dans la satire encor me si…
Il a vécu tantôt gai comme un sans… Tour à tour amoureux insoucieux et… Tantôt sombre et rêveur comme un t… Un jour il entendit qu’à sa porte… C’était la Mort ! Alors il la pri…
Partez, puisqu’un départ est néces… Puisque la guérison, que notre Fr… Vous rappelle en Bohême au murmur… Partez, et qu’en chemin la poussiè… Sur votre front pâli s’adoucisse e…
Ô noir Chillon ! quand sur ta rive Descend l’ombre fraîche des nuits… Lorsqu’à tes pieds la vague arrive Avec de mystérieux bruits ; Quand la lune, pâle et rêveuse,
Des fleurs fines et mousseuses com… Poussaient au bord de nos chemins Le vent tombait et l’air semblait… Et tes cheveux avec des plumes. L’ombre était bienveillante à nos…
De son bonheur furtif lorsque malg… L’amant d’Héro courait s’enivrer… Et dans la nuit tentait de gagner… Le bord où l’attendait l’Amour, Une lampe envoyait, vigilante et f…
(Sur la conquête de la Franche-Co… Quelle rapidité, de conquête en co… En dépit des hivers guident tes ét… Et quel dieu dans tes yeux tient c… Qui fait tomber les murs d’un seul…
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
Sans doute est-il absurde de salue… océan restée debout à la verticale parmi… et dont le cœur à chaque battement… un délire vrai de lianes.
C’est bien ; puisqu’au sénat, puis… Tu poses, calme, altier, fier, ta… Puisque tu tends la main à l’argen… Puisque ta conscience est cotée au… Puisque tu prends ton rang dans la…
Tu l’as connu, ma chère Éléonore Ce doux plaisir, ce péché si charm… Que tu craignais, même en le désir… En le goûtant, tu le craignais enc… Eh bien ! dis-moi : qu’a-t-il donc…
Le vieux crapaud de la nuit glauqu… Vers la lune de fiel et d’or, C’est lui, là-bas, dans les roseau… La morne bouche à fleur des eaux, Qui rauque.
Allez, mes vers, de branche en bra… Vers la dame des Trawiéro, Qu’on reconnaît à sa main blanche Comme la moelle du sureau. Elle est assise à sa croisée,
Je me souviens de toi enveloppée d… les sourcils froncés le regard sombre et des grandes ailes noires et bri… que moi seul pouvais voir
Fuyons ces tristes lieux, ô maître… Nous perdons en espoir la moitié d… Et la crainte importune y trouble… Non loin de ce rivage est une île… Interdite aux vaisseaux, et d’écue…
C’est la poésie d Alain . C’est en chevauchant le mâle . Les cuisses et les jambes écartées… J adore caressé les testicules . Oui .. j adore me faire ramoner .
A m’avouer pour son amant Il faudra bien qu’on s’habitue. —Du marbre pur, rose et charmant. J’ai fait jaillir une statue. J’ai taillé le bloc de façon
Là, du haut de ma tour, moi je vou… Par devers le marais, au plus loin… Lors, quand viendra ce jour, je vo… En mon humble palais, vous y serez… Au feu de nos amours, s’embrasera…
Nous mourons notre mort dans des f… dans le pays où croître drosera irrespirable pâturant aux embouchures des clart… ivre
J’ai dit au ramier : « Pars ! et… Au delà des champs d’avoine et de… Me chercher la fleur qui fera qu’o… Le ramier m’a dit : « C’est trop… Et j’ai dit à l’aigle : « Aide-mo…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
J’ai besoin de silence... oh ! ne… J’écoute au fond de moi le murmure… Et j’entrevois au loin, sous les v… La Provence éclatante et chaude q… Un souffle amer, pesant, me traver…