Mon cœur dans le silence a soudain… Comme une onde que trouble une bri… Puis la paix des beaux soirs douce… Et c’est un calme ciel qu’à présen… En tendant vers tes yeux mon désir…
Au bord du clair bassin qu’à peine… Eau pure où le regard jusqu’au sab… Dans sa fleur du matin, dans sa be… Rêvait la blonde enfant à l’œil te… Au charme dangereux, s’il n’était…
Ces vers que toi seule aurais lus, L’œil des indifférents les tente ; Sans gagner un ami de plus J’ai donc trahi ma confidente. Enfant, je t’ai dit qui j’aimais,
Sonnet. Ni l’amour ni les dieux ! Ce doub… Je ne poursuivrai plus la guêpe du… Et, las d’approfondir, je veux me… De l’ingrate besogne où mon front…
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,
J’ai connu, Madame, une Dame, Moi vilain petit paysan, Aussi grande de cœur et d’âme Que... la plus grande et... fine l… Et... pleine d’esprit... jugez-en.
En printemps, quand le blond vitri… Nettoie à neuf la vitre éclatante… Quand aux carrefours noirs qu’écla… En monceaux odorants croulent les… Et le lilas tremblant, frileux enc…
Pour le Papillon et l’Âme La Grèce avait un seul nom ; Ô poètes ! je proclame Que la Grèce avait raison. L’Âme et l’insecte ont des ailes
Hôtesse au doux accueil, reine d’u… Merci d’avoir voulu me montrer ce… Désert où vous vivez, loin d’un mo… Avec la paix du cœur et les consei… Comme vous, je connais l’étrange i…
Tu vois, le poète est blessé .. a… Sous le soleil majestueux de Sept… Une belle journée pour mourir . Tu sais .. il est parti sans payer… La plume est devenue l orpheline…
Dans l’ombre de ce vallon Pointent les formes légères Du Rêve. Entre les bourgeons Et du milieu des fougères Émergent des fronts songeurs
Sonnet. Pascal ! pour mon salut à quel die… —Tu doutes ? crois au mien, c’est… Il est ou non : forcé d’avouer l’u… Parie. À l’infini court la rouge o…
Les habits en désordre et la main… Tu pleures feu l’Amour, dolente,… Je ne suis pas surpris si sa tombe… Quoiqu’il parût enfant, l’Amour é… Te voici dans ce bois, où ton regr…
Ce refuge dans ta main Dans ce combat de tout les instant… Je lutte encore et encore quel qu’… Fatigué, abandonné et perdant tout… Je n’avais qu’un désir, sortir de…
C est la rubrique de Sunday . C est un article sur le journal S… C est les fleurs .. Rose, Anémon… Qui s amusent dans le potager . Pour cueillir des légumes pour le…
Il est donc vrai ? Je garde en qu… Ô profonde douleur ! un cœur indif… Pas de regard aimé, pas d’image ch… Dont mon œil au départ se détache… Ainsi partent tous ceux que le dés…
Ô Beauté nue à jamais solitaire, Élève ton corps blanc du milieu de… Et laisse que le souffle ingénu du… Caresse ton épaule et le bout de t… Laisse sous le jour bleu qui coule…
Bonjour, je suis allongé nu sur le… Mon copain veut me baisé .. m enc… Je suis le tourangeau heureux . Le cul ouvert .. le fier gay . Tu vois .. j ai les jambes écarté…
Nice, trop petite naguère, S’agrandit, libre de tout mur, Ni port marchand, ni port de guerr… Toute blanche au bord de l’azur. Nice a pour orgueil d’être blanche
Ta bouche a deux façons charmantes… Deux charmantes façons : le rire e… Si vous voulez savoir celle que je… J’aime mieux celle-ci, mais l’autr…
C’est les fragments de poésies . J écris des mots pour l histoire… Qui vont restés dans nos mémoires… Des phrases .. qui résonnent dans… Avec le soleil majestueux .. la p…
Oh ! lorsque incessamment tant de… S’impriment à la rame, Et que notre Thalie accouche tous… D’un nouveau mélodrame ; Que les analyseurs sur leurs gros…
Sur le départ de la vicomtesse… 1608. Ils s’en vont ces rois de ma vie, Ces yeux, ces beaux yeux, Dont l’éclat fait pâlir d’envie
A Bristol, sur le quai, le nom de… Désigne un lieu connu de tous les… Taverne du nommé Walkins, honnête… Où l’aie est sans pareille et ne c… Cent marins attablés trinquent dan…
Le flot de ses cheveux a baisé le… Il en est demeuré rouge comme une… Il brille sur la tête auguste et l… Comme un ruisseau coulant dans un… Les profonds cheveux bruns embaume…
Il est doux d’obtenir l’estime ; Il est mieux de la mériter. Attends, sans la solliciter, Cette heure d’allégresse intime ; Et jusqu’à la mort, s’il le faut,
Ô mes auteurs chéris, vous qui, lo… Me consolez toujours, m’entourez à… Vos écrits ont calmé mes pensers d… Et je vous aime tous, en amis, en… Dans mes rêves brillants, fils de…
Pren ceste rose aimable comme toy, Qui sers de rose aux roses les plu… Qui sers de fleur aux fleurs les p… Qui sers de Muse aux Muses et à m… Pren ceste rose, et ensemble reçoy
Voici le frais matin, mais tout so… Les arbres sont rêveurs dans l’imm… La nuit trace au fusain des tablea… Couvrira d’un pastel sublime, la c… Les oiseaux ont encore la tête sou…
Ris sous la griffe des vautours, Cœur meurtri, que leur bec entame… Vas-tu te plaindre d’une femme ? Non ! je veux boire à ses amours ! Je boirai le vin et la lie,