Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
il n’est pas question de livrer le… la vie-mort la mort-vie les souffleteurs de cr… été de nuit escamotés pour le rest… des chevaux qui n’ont laissé sur l…
L’homme s’enfuit, le cheval tombe, La porte ne peut pas s’ouvrir, L’oiseau se tait, creusez sa tombe… Le silence le fait mourir. Un papillon sur une branche
C’est les bulles du jeudi . Quelques mots pour la poésie . Du champagne est servit dans la… Le roy Manuel resteras sur la ser… Les sept sages iront tous au comba…
L’homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et rich… Qu’il faut qu’il remue et défriche Avec le fer de la raison ; Pour obtenir la moindre rose,
Au globule de vie toute la chance… tôt décidés que disparus dont elle… C’est comme les perles de ces peti… jusqu’au dernier alvéole une bouch… La tête d’Ogmius coiffée du sangl…
Qui est là Personne C’est simplement mon cœur qui bat Qui bat très fort A cause de toi
il y a des volcans qui se meurent il y a des volcans qui demeurent il y a des volcans qui ne sont là… il y a des volcans fous il y a des volcans ivres à la déri…
Quand le ciel couleur d’une joue Laisse enfin les yeux le chérir Et qu’au point doré de périr Dans les roses le temps se joue, Devant le muet de plaisir
Parmi l’arbre, la brise berce La vipère que je vêtis ; Un sourire, que la dent perce Et qu’elle éclaire d’appétits, Sur le Jardin se risque et rôde,
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! Au-dessus de l’île on voit des ois…
De sa profonde mère, encor froide… Voici qu’au seuil battu de tempête… Amèrement vomie au soleil par la m… Se délivre des diamants de la tour… Son sourire se forme, et suit sur…
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
Vous qui vous êtes effacés sur son… Qui avez refermé sur elle vos chem… Impassibles garants que Douve même morte Sera lumière encore n’étant rien.
Faut savoir interroger leur double quitte à ne voir l’heure qu’à leur… qui n’est pas sans rapport avec la… faut apprécier leur sans-gêne l’ivresse étant qu’ils s’installen…
Un feu distinct m’habite, et je vo… La violente vie illuminée entière.… Je ne puis plus aimer seulement qu… Ses actes gracieux mélangés de lum… Mes jours viennent la nuit me rend…
Obscur… GERVASIUS TILBERIENSIS. Amis, ne creusez pas vos chères rê… Ne fouillez pas le sol de vos plai… Et quand s’offre à vos yeux un océ…
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Sculpteur, cherche avec soin, en a… Un marbre sans défaut pour en fair… Cherche longtemps sa forme et n’y… D’amours mystérieux ni de divins c… Pas d’Héraklès vainqueur du monst…
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
~ Extraits ~ Tout ce qui jamais fut déchiré en… au milieu de l’assiette de son sou… Et pourtant que te reste-t-il du t… à peine peut-être certain sens
Mais la lumière revient Le plaisir de fumer L’araignée-fée de la cendre à poin… N’est jamais contente de ses maiso… Mozart
Voie lactée ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses Nageurs morts suivrons-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Comme c’est beau ce qu’on peut voir comme ça à travers le sable à travers le ve… à travers les carreaux tenez regardez par exemple
Qui plus ? Où est le tiers Calixt… Dernier decedé de ce nom, Qui quatre ans tint le Papaliste… Alphonse, le roy d’Aragon, Le gracieux duc de Bourbon,
Le compère Thomas et son ami Lubi… Allaient à pied tous deux à la vil… Thomas trouve sur son chemin Une bourse de louis pleine ; Il l’empoche aussitôt. Lubin, d’u…
Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d’autrefois, Où l’eau court, où le buisson trem… Dans la maison qui touche aux bois… Elle avait DIX ans, et moi trent…
L’araignée à moustaches n’est pas Napoléon III Qui s’ennuie quand il a froid.
C est le récit de Cobra Alain . Le poète lacheteau, le tourangeau… Sur les chemins des coteaux . Tu vois .. il se promène nu . Tu vois .. il adore les beaux mâl…
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
L’amour nous fait trembler comme u… Car chacun de nous deux a peur du… « Mon bien-aimé, dis-tu très bas,… Laisse... Ferme les yeux... Ne pa… Je te devine proche au feu de ton…
Le bras sur un marteau gigantesque… D’ivresse et de grandeur, le front… Comme un clairon d’airain, avec to… Et prenant ce gros-là dans son reg… Le Forgeron parlait à Louis Seiz…
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
Tu vois .. les années se sont éco… Entre la Colline .. la vallée et… Le pacte de 83 .. que nous avons s… Le compromis .. que nous avons si… Lucie .. les yeux noisettes et le…
Les choses qui chantent dans la tê… Alors que la mémoire est absente, Écoutez ! c’est notre sang qui cha… Ô musique lointaine et discrète ! Écoutez ! c’est notre sang qui ple…
Mon coeur, lassé de tout, même de… N’ira plus de ses voeux importuner… Prêtez-moi seulement, vallon de mo… Un asile d’un jour pour attendre l… Voici l’étroit sentier de l’obscur…
clameurs clameurs moi qui n’eus jamais de gorge qu’à… de gros bourgs vinrent paître dans… clameurs clameurs hétéroclite d’odeurs obséquieuses…
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
Une jeune guenon cueillit Une noix dans sa coque verte ; Elle y porte la dent, fait la grim… Dit-elle, ma mère mentit Quand elle m’assura que les noix é…
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires
Que me conseillez-vous, mon coeur… Irai-je par devers la belle Lui dire la peine mortelle Que souffrez pour elle en douleur… Pour votre bien et son honneur,
Soleil je t’adore comme les sauvag… à plat ventre sur le rivage Soleil tu vernis tes chromos tes paniers de fruits, tes animaux Fais-moi le corps tanné, salé,
Une terre fertile Une lune bonne enfant Une mer hospitalière Un soleil souriant Au fil de l’eau
Que me veux-tu, chère fleurette, Aimable et charmant souvenir ? Demi-morte et demi-coquette, Jusqu’à moi qui te fait venir ? Sous ce cachet enveloppée,
N’y va pas tout est combiné d’avance le match est truqué et quand il apparaîtra sur le ring environné d’éclairs de magnésium
(Sur la mort d’Iris en 1654.) Parmi les doux transports d’une am… Je voyais près d’Iris couler mes… Iris que j’aime encore, et que j’a… Brûlait des mêmes feux dont je brû…
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines,
C’était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre
Ce spectre singulier n’a pour tout… Grotesquement campé sur son front… Qu’un diadème affreux sentant le c… Sans éperons, sans fouet, il essou… Fantôme comme lui, rosse apocalypt…
Entendez-vous Entendez-vous gens du Viet-Nam entendez-vous dans vos c… Oui nous les entendons Ces êtres inférieurs
Dans les montagnes de Cachemire Vit le sultan de Salamandragore Le jour il fait tuer un tas de mon… Et quand vient le soir il s’endort Mais dans ses cauchemars les morts…
À Saint-Blaise, à la Zuecca, Vous étiez, vous étiez bien aise À Saint-Blaise. À Saint-Blaise, à la Zuecca, Nous étions bien là.
Heureux comme la truite remontant… Heureux le cœur du monde Sur son jet d’eau de sang Heureux le limonaire Hurlant dans la poussière