STANCES. 1586. Si des maux renaissants avec ma pa… N’ont pouvoir d’arrêter un esprit… Le temps est médecin d’heureuse ex…
Dieu est mort ! le ciel est vide..… Pleurez ! enfants, vous n’avez plu… Jean Paul . Quand le Seigneur, levant au ciel… Sous les arbres sacrés, comme font…
Dans le cœur et sur le visage Tout défaut grandit avec l’âge Et devient laideur sans retour ; Le petit point noir de l’enfance, Nuage dans l’adolescence,
Au poè… Ton applaudissement, divin poète,… L’humble songeur dont l’âme impétu… Au lyrisme infini des cieux. Il m’exalte déjà, ce bravo qui m’h…
Je t es cherché en haut de la Col… Entre les sapins et la glycine . Tu étais assis à la porte du garag… J ai regardé le doux visage . Tu vois .. mon cœur s est emballé…
J’ai souvent comparé la villégiatu… Aux phases d’un voyage entrepris e… Avec des étrangers de diverse natu… Dont on n’a de ses jours vu ni con… Au début de la route, en montant e…
À Francis Blin. Las du rail continu, du sifflet de… Conduit par mes deux pieds, comme… J’aime à vivre en plein bois dans… Enveloppé d’oubli, de calme et de…
La lune, dites-nous si c’est votre… Ô lune cajoleuse ! Que les hommes se plient au gré de… Comme la mer houleuse, Est-ce votre vouloir que ceux qui…
Rencontré soit de bêtes feu jetant Que Jason vit, quérant la Toison… Ou transmué d’homme en bête sept a… Ainsi que fut Nabugodonosor ; Ou perte il ait et guerre aussi vi…
Comme un factionnaire immobile au… Dans ces murs où l’on croit ouïr s… Le grave écho lointain d’un qui vi… À ses gloires Québec semble encore… L’humble paix pastorale a replié s…
S’ILS ME DEMANDENT Dites de moi ce qui est irréparabl… ce qui n’était pas ou ce qui était… ombre cristalline sur ma vie. Dites de moi... que le vent a foue…
Couple heureux et brillant, vous q… Dès longtemps comme un hôte à vos… Qui m’avez laissé voir, en votre d… Triomphante, et d’éclat partout en… Le cours intérieur de vos félicité…
Sur la lande et dans les taillis, Cueillez l’ajonc et la bruyère, Doux compagnons à l’âme fière, Ô jeunes gens de mon pays ! * * * * * *
Ce rusé Calabrais tout vice, quel… Chatouille à son ami, sans épargne… Et faisant rire ceux que même il é… Se joue autour du cœur de cil qui… Si donc quelque subtil en mes vers…
Il est de ces longs jours d’indici… Où l’on voudrait dormir du lourd s… De ces heures d’angoisse où l’exis… Sur l’âme et sur le corps : Alors on cherche en vain une douce…
Et puis arrive la douceur d’un dim… Alors que nos âmes s’éveillent dou… J’effleure ton corps J’effleure ton visage J’effleure tes lèvres
Quand vous me montrez une rose Qui s’épanouit sous l’azur, Pourquoi suis-je alors plus morose… Quand vous me montrez une rose, C’est que je pense à son front pur…
Sors de ta chrysalide, ô mon âme,… L’Automne. Un long baiser du sole… Les étangs ; les lointains sont ve… Le flexible arc-en-ciel a retenu l… Sur sa voûte où se fond la clarté…
Chacun de vos attraits vaut une sé… Votre bouche semble être une rouge… Où quiconque vous voit, voudrait p… Avec un mot d’amour un doux et cha… Vos yeux brillants et purs, feu sa…
Ces lettres d’autrefois j’avais so… ..................................… La brume qui voilait le passé se d… Les lieux et les objets anciens ch… Je redeviens celui qui voyait son…
Ursin, quand j’oy nommer de ces vi… De ces beaux noms connus de l’Ind… Non les grands seulement, mais les… Voire ceux-là qui ont les ampoules… Il me fâche d’ouïr appeler ces vil…
Dans la serre vitrée où de rigides… Filles d’une jeune île et d’un loi… Sous un ciel toujours gris, sommei… Dressent leurs dards aigus et leur… Lui, tremblant, secoué par la fièv…
Votre génie est grand, Ami ; votr… Monte, comme Élysée, au char vivan… Nous sommes devant vous comme un r… Votre souffle en passant pourrait… Mais vous prenez bien garde, Ami,…
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras... gau… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :
Sonnet à Madame G. « Non, je ne suis pas gaie en mes… Autant qu’on croirait bien, disait… Je sens aussi ma peine, et pleurer… Mais c’est que dans l’esprit j’ai…
Discrets, furtifs et solitaires, Où menez-vous, petits chemins ? Vous qu’on voit, pleins de frais m… Vous cachant aux regards humains. Où menez-vous, petits chemins
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
Qu’il était fatigué ce soir Au moment de son arrivée ! À mes côtés il vint s’asseoir ; Sa journée était achevée. Je lui disais : « Vous êtes bon !…
Je fus son chaos, elle fut ma paix… Une tornade dans sa vie, flottait, Lorsqu’un soleil dans la mienne, r… Et sa peau lattée, qui me disait : “ arrête de te sentir flatté ”,
Adam était fort amoureux. Maigre comme un clou, les yeux cre… Son Ève était donc bien heureuse D'être sa belle Ève amoureuse, Mais... fiez-vous donc à demain !
Par la chaîne d’or des étoiles viv… La Lampe du ciel pend du sombre a… Sur l’immense mer, les monts et le… Dans la molle paix de l’air tiède… Bercée au soupir des houles pensiv…
Le calvaire. Las d’errer sans guide, Depuis le Roudou, Dans ce matin d’août Brumeux et languide,
Je me souviens encore quand on s’e… Là, dans cette fantastique salle d… Et que tout à coup j’en suis deven… Tant ta splendeur et ta noblesse m… Tout de suite j’ai voulu m’approch…
(Sur sa bienvenue en France.) Peuples, qu’on mette sur la tête Tout ce que la terre a de fleurs ; Peuples, que cette belle fête À jamais tarisse nos pleurs :
(Épigramme.) L’héritier va pleurant le mort, Pour la vieille coutume ensuivre ; Mais si le mort retournait vivre, L’héritier pleurerait plus fort.
Ceux-ci, de qui vos yeux admirent… Pour un fameux honneur qu’ils brûl… Partis des bords lointains d’une t… S’en vont au gré d’Amour tout le… Ce grand démon, qui se déplaît
L’horloge a tinté quatre fois. Qu’est-ce donc, ces folles risées… Comme un cygne aux ailes rosées, L’aurore glisse au ras des bois. Ce sont les filles de Pont-Croix
Rien de nouveau dans cette ville i… Vous avez vu l’effervescence Qu’a produite en ces lieux le mona… Jamais Paris, jamais la France D’hommages plus flatteurs n’ont ho…
À M. e… Quand on s’aime on se marie : Il prend fin, l’enchantement D’une vague rêverie. Quand on s’aime on se marie :
Ils me l’ont dit : parfois, d’un m… J’ai réveillé le sourire ou les pl… Quelques doux airs ont erré sur ma… Sous mes pinceaux quelques fraîche… Ils me l’ont dit ! connaissent-ils…
A travers la pluie dense et glacée… Mais ses souliers trop grands sont… O monde sans abri qui vas ce dur c… O monde qui les méprises, tu me fa…
C c’est un poème court . Le poète Alain vient de jouir sou… Tu vois l ami .. il vient de pomp… Plus tard, sous l olivier .. un c… Epais dans l anus du poète Alain…
À François Coppée. Ô senteur suave et modeste Qu’épanchait le front maternel, Et dont le souvenir nous reste Comme un lointain parfum d’autel,
Oui, si dans mes beaux jours, comm… Vous m’étiez apparu, mains jointes… Vous alors, à mes yeux, ange, sain… J’aurais courbé la tête Et fléchi les genoux.
Je te rencontre un soir d’automne, Un soir frais, rose et monotone. Dans le parc oublié, personne. Toutes les chansons se sont tues : J’ai vu grelotter les statues,
Ô vous qui, dans la paix et la grâ… Animez et les champs et vos forêts… Enfants silencieux des races végét… Beaux arbres, de rosée et de solei… La Volupté par qui toute race ani…
En Décembre, au concert, souvenir… J’entendis, comment rendre un pare… La douleur ineffable et gronder et… D’un grand maître germain c’était… La vie intérieure, avec ses grands…
Eh bien ! puisque l’impatience De revoir vos climats chéris, Ainsi qu’à l’amitié vous ravit à l… Partez : les nobles Potockis, Dans l’aimable François, digne sa…
J’ai le souvenir d’un prénom Dont je n’ai aucun souvenir J’essaie d’étancher Corps et âme L’abîme du savoir
C’étaient trois matelots de Groix… Ils étaient partis tous les trois Pêcher la sole : Les pauvres garçons n’avaient pas Plus de sextant que de compas
(Sur la calomnie.) Écoutez-moi, respectable Emilie : Vous êtes belle ; ainsi donc la mo… Du genre humain sera votre ennemie… Vous possédez un sublime génie ;
Au roi Henri Le Grand. 1607 ou 1608. Mon roi, s’il est ainsi que des ch… L’école d’Apollon apprend la véri… Quel ordre merveilleux de belles a…
C’est un article de Friday . C est dans les mémoires et de l hi… C est les mots bleus sur quelques… Le poète était allongé sur le lit… Son copain avait la bite en érecti…
Dans un siècle de fer, de houille… La vie est rude, hélas ! pour le p… Si la gloire est souvent un mirage… La foi ne s’éteint pas dans un vra… Par toutes les saisons et sur tous…
Où sont nos amoureuses ? Elles sont au tombeau. Elles sont plus heureuses, Dans un séjour plus beau ! Elles sont près des anges,
C est le journal de bord .. Noël… C est les mots du poète Alain . Tu vois .. il faut plusieurs aman… Pour se faire baisé sur le canapé… Le plaisir d avoir le cœur et le c…
La nuit enveloppait les sept Mont… Dans l’oratoire clos, le Pape Inn… Mains jointes, méditait, vêtu de b… Ou se détachait l’or pectoral de l… Du dôme surbaissé, seule, une lamp…
Le Gapeau chantait une chanson fo… De joie et d’amours ; Son onde tordait sur l’arène molle Mille et un détours ; Et moi j’allais, triste, avec l’âm…
Divinité que le ciel fit pour plai… Vous qu’il orna des charmes les pl… Vous que l’Amour prend toujours p… Quoiqu’il sait bien que Mars est… Qu’avec regret je me vois loin de…
Aujourd’hui Je parcours ces routes Ces routes qui me racontent mainte… —une histoire d’amour. Elles ne seront plus jamais les mê…