De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Pourquoi le prononcer ce nom de la… Dans son brillant exil mon coeur e… Il résonne de loin dans mon âme at… Comme les pas connus ou la voix d’… Montagnes que voilait le brouillar…
Il est minuit les sorciers ne sont pas encore ve… les montagnes n’ont pas fondu ai-je assez dit à la terre de ne pas s’installer par crainte…
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
train d’okapis facile aux pleurs l… fouille dans le cheveu des pierres… mille morsures de diamants mille l… fièvre entrelacs d’archet caché à… chatouillant l’ombre des songes pl…
Si ma pensée emprunte les ailes du… ô visages c’est entendu vous êtes proie pour mes serres et moi je le suis au bec du vent d… car il y a ce mal
Souvent à la clarté rouge d’un rév… Dont le vent bat la flamme et tour… Au coeur d’un vieux faubourg, laby… Où l’humanité grouille en ferments… On voit un chiffonnier qui vient,…
Pachira Peau-Rouge et garde empanachée de… ceiba athlète qui par mystère équi… savants fûts d’orgueil d’un giseme… de ma fidélité ou lait ruiné de ma…
Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs un jardin des fleurs un sculpteur qui sculpte des Napoléon la fleur qu’on appelle aussi deux amoureux sur un grand lit un receveur...
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Sauf le… qui veulent commencer par la fin i… a tant de choses qui finissent par… commencement que le commencement commence à finir par être la fin l…
Quand les Nègres font la Révolution ils commencent par arra… Champ de Mars des arbres géants qu’ils lanc…
Le tendre et dangereux visage de l… C’était peut-être un archer avec s… Je ne sais plus Je ne sais rien Tout ce que je sais c’est qu’il m’…
mon peuple quand hors des jours étrangers germeras-tu une tête bien tienne s… et ta parole
Ô toi, le plus savant et le plus b… Dieu trahi par le sort et privé de… Ô Satan, prends pitié de ma longue… Ô Prince de l’exil, à qui l’on a f… Et qui, vaincu, toujours te redres…
Qu’il était fatigué ce soir Au moment de son arrivée ! À mes côtés il vint s’asseoir ; Sa journée était achevée. Je lui dirais : « Vous êtes bon !…
Saint-Valery-Sur-Somme. Oh ! combien de marins, combien de… Qui sont partis joyeux pour des co… Dans ce morne horizon se sont évan… Combien ont disparu, dure et trist…
Quand je vais poursuivant mes cour… Je m’arrête surtout aux vieux chât… J’aime leurs toits d’ardoise aux r… Aux faîtes couronnés d’arbustes ra… Leurs pignons anguleux, leurs tour…
nous savoir dans la pluie dans les cendres dan… nous savoir qui rêvâmes sans chiff… rué par monts et vaux nous savoir ce cœur lourd
Notre Père qui êtes aux cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terr… Qui est quelquefois si jolie
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
à larges coups d’épée de sisal de… à grands coups fauves de tes bras… à ton gré batéké de tes bras de re… de don qui frappent de clairvoyanc… les espaces aveugles baignés d’ois…
souliers et ils passent devant elle et la saluent très bas de temps en temps elle leur jette un vieux cure-dents ils le sucent avec ravissement en continuant leur promenade leurs soulie...
Cent mille hommes, criblés d’obus… Cent mille hommes, couchés sur un… Tombés pour leur pays par leur mor… Comme on tombe à Fleurus, comme o… Cent mille ardents soldats, héros…
Tout amoureux, de sa maîtresse, Sur son coeur ou dans son tiroir, Possède un gage qu’il caresse Aux jours de regret ou d’espoir. L’un d’une chevelure noire,
Et par le soleil installant sous m… et par le vent sur ma force de den… et par le noir le long de mes musc… et par la femme couchée comme une… et par la femme au cadastre mal co…
De fibres de plume de bois lisse r… de pierre de cuivre de fer surgir avec au cou le collier de mémoire jusqu’à l’aube débile
Ni vu ni connu Je suis le parfum Vivant et défunt Dans le vent venu ! Ni vu ni connu
Un morceau de lumière qui descend… Femme le temps qu’il fait le temps… tu es le passage aussi d’oiseaux m… d’un autre monde s’insinuant Femme
Hommes tant pis qui ne vous aperce… de frondes et de drapeaux noirs qui assassinent à chaque battement… ommes tant pis qui ne voyez pas qu… que ma munificence love dans mes l…