Angoisse tu ne descendras pas tes… Peur dans l’écheveau fou je n’aura… en tremblant le fil rouge de mon sang de ma rai… le dur secret de mon corps de l’or…
S’étendant sur les côtes du cimeti… La maison des morts l’encadrait co… À l’intérieur de ses vitrines Pareilles à celles des boutiques d… Au lieu de sourire debout
Chute superbe, fin si douce, Oubli des luttes, quel délice Que d’étendre à même la mousse Après la danse, le corps lisse ! Jamais une telle lueur
Étranges étrangers Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays loin
L’oiseau qui vole si doucement L’oiseau rouge et tiède comme le s… L’oiseau si tendre l’oiseau moqueu… L’oiseau qui soudain prend peur L’oiseau qui soudain se cogne
Sa grandeur éblouit l’histoire. Quinze ans, il fut Le dieu que traînait la victoire Sur un affût ; L’Europe sous la loi guerrière
du fond d’un pays de silence d’os calcinés de sarments brûlés d… et gardés au museau d’un pays de désirs irrités d’une… de naufrage à même (le sable très…
mon peuple quand hors des jours étrangers germeras-tu une tête bien tienne s… et ta parole
Quand les Nègres font la Révolution ils commencent par arra… Champ de Mars des arbres géants qu’ils lanc…
Ô toi, le plus savant et le plus b… Dieu trahi par le sort et privé de… Ô Satan, prends pitié de ma longue… Ô Prince de l’exil, à qui l’on a f… Et qui, vaincu, toujours te redres…
Qui pleure là, sinon le vent simpl… Seule, avec diamants extrêmes ?...… Si proche de moi-même au moment de… Cette main, sur mes traits qu’elle… Distraitement docile à quelque fin…
Je me jette dans le grand vide à c… Impromptue vague pourvue de virule… M’offre à une ville et à ses vertu… En accord parfait avec ma divergen… M’implanter ici de façon inopinée,
dans l’épice grand large il y a étale cette épaisseur comme… fragment la paroi qui patiente il y a cette verticale terrible do… vif
Cette nuit, il pleuvait, la marée… Un brouillard lourd et gris couvra… Les brisants aboyaient comme des c… Aux pleurs du ciel profond joignai… L’infini secouait et mêlait dans s…
Au globule de vie toute la chance… tôt décidés que disparus dont elle… C’est comme les perles de ces peti… jusqu’au dernier alvéole une bouch… La tête d’Ogmius coiffée du sangl…
Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébèce les fi… Tout rien. Je la hais d’amour comme tout un c… Le mort respirait de grandes bouff…
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
Son manteau traînait comme un sole… et les perles de son collier étaie… Une neige de seins qu’entourait la… et dans l’âtre un feu de baisers. Et les diamants de ses bagues étai…
Il existe près des écluses Un bas quartier de bohémiens Dont la belle jeunesse s’use À démêler le tien du mien En bande on s’y rend en voiture,
Creuset où naît le monde cheveu hu… cheveu première pierre du souci lorsque la pluie sera le fil dont… lorsque le soleil sera une araigné… lorsque la mer sera un poulpe pour…
toute chose plus belle la chancellerie du feu la chancell… une grande culbute de promontoires et d’étoiles une montagne qui se délite en
Le jeune homme dont l’oeil est bri… Le beau corps de vingt ans qui dev… Et qu’eût, le front cerclé de cuiv… Adoré, dans la Perse, un Génie in… Impétueux avec des douceurs virgin…
il n’est pas question de livrer le… la vie-mort la mort-vie les souffleteurs de cr… été de nuit escamotés pour le rest… des chevaux qui n’ont laissé sur l…
Elle naît au déclin de l’automne Elle vit en rêve tout un hiver Elle s’éveille en sursaut au print… Elle aime, elle aime en plein été Elle sème des souvenirs en automne
Si je regarde tout à coup n’a véri… subir cette parole intérieure sans… éphémères ; et cette infinité d’en… facilité, qui se transforment l’un… elles. Incohérente sans le paraîtr…
(Sur la mort d’Iris en 1654.) Parmi les doux transports d’une am… Je voyais près d’Iris couler mes… Iris que j’aime encore, et que j’a… Brûlait des mêmes feux dont je brû…
Obscur… GERVASIUS TILBERIENSIS. Amis, ne creusez pas vos chères rê… Ne fouillez pas le sol de vos plai… Et quand s’offre à vos yeux un océ…
Tu n’es ni beau ni riche, Ton amour est un faix, Par le mal qu’il me fait Ton amour m’est fétiche. Laisse se rassir la miche
Pourquoi le prononcer ce nom de la… Dans son brillant exil mon coeur e… Il résonne de loin dans mon âme at… Comme les pas connus ou la voix d’… Montagnes que voilait le brouillar…
Ce toit tranquille, où marchent de… Entre les pins palpite, entre les… Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours recommenc… Ô récompense après une pensée