L’un vainqueur ou l’autre battu, Ces beaux soldats qui vous ont fai… Gardaient jusque dans la défaite Le sourire de leur vertu. Vous, pour avoir rendu les armes,
Derrière le treillis du passage à… Les filles de Strasbourg composen… Pour Marchai, gai bouquet de figu… Elles portent le court jupon de co… Et la coiffe ancienne aux larges n…
Amour profond Je te connais depuis longtemps mon… Et plus je te connais, plus mon co… Je ne te regarde plus comme avant, Ce n’est plus tes formes que j’ape…
le tronc enserré de liens l’eau lance de brutaux surgeons dans l’aire avide du courant ce sont surgeons aveugles d’être affamés affamés et claustrés de D…
Amina bondit,—fuit,—puis voltige e… Le Welche dit : « Tout ça, pour m… Je ne connais, en fait de nymphes… Que celle de Montagne-aux-Herbes-… Du bout de son pied fin et de son…
A la veille du sommeil, tu gardes… L’inverse d’un fonctionnaire, tu é… Quand le village s’endort, tu tues… Pourquoi une telle trêve, tu as la… En sage tu vois au loin, les cents…
Au retour des beaux jours, dans ce… Où meurent les Danton trahis par… Quand l’étable s’agite au fond des… Quand l’eau vive au soleil se chan… Quand la grisette assise, une aigu…
Elle jouait avec sa chatte, Et c’était merveille de voir La main blanche et la blanche patt… S’ébattre dans l’ombre du soir. Elle cachait – la scélérate ! –
La marquise de Saperlipopette Aime la plume et le crépuscule Et les larmes qu’on imite si bien… Aime le mou, le flou, le doux, le…
La passrelle est un mythe, que le… Une forêt magique, d’où l’on resso… Une montagne flottante, aux arbres… Une mer dansante, aux poissons ima… Où les sirènes grandissent, des gr…
Contrerime LXIV. Toi, pour qui les dieux du mystère Sont restés étrangers, J’ai vu ta mâne aux pieds légers, Descendre sous la terre,
Femme, tu es jolie Toi seule en est le prix ! Levée dès le matin C’est dans la salle de bain, Tu regardes le miroir
C est la rubrique d aujourd’hui . Les mots sur le cours de la page… La Loire .. le bateleur conduit l… Le monarque dans le palais du baro… C est le récit de la Cybelle de l…
Écoute. Quelqu’un chante ou soupir… Un lied dont on ne sait s’il est t… Te dénonce l’éveil de l’homme inté… Ecoute, et que ta plume attentive… A recueillir l’écho de cette voix…
Tristes circonstances C’est dans la peine que je te voya… Je te voyais tous les jours rejeté… Depuis longtemps tu avais perdu le… Chaque jour, cela devenait de pire…
Je tourne la page Amie, amie pour qui j’ai eu de l’a… Pour toi j’ai ressenti une très gr… Mes pensées étaient tournés vers t… Je t’aimais, belle amie, ô combien…
L’agneau cherche l’amère bruyère, C’est le sel et non le sucre qu’il… Son pas fait le bruit d’une averse… Quand il veut un but, rien ne l’ar… Brusque, il fonce avec de grands c…
La pensée est la plus amère des ma… Tu formes tendrement son corps par… Tu puises pour prêter une âme à se… Dans toute ta douleur et toutes te… Tu la vêts de satins chatoyants, t…
Contrerime XXXIV. Ce fut par un soir de l’automne A sa dernière fleur Que l’on nous prit pour Mgr L’Evêque de Bayonne,
Là, du haut de ma tour, moi je vou… Par devers le marais, au plus loin… Lors, quand viendra ce jour, je vo… En mon humble palais, vous y serez… Au feu de nos amours, s’embrasera…
C est le chapitre du jeudi poésie… Ce matin .. j ai préparé le café… Le jus du mâle .. le lait crémeux… Mon copain s est levé et aller pre… Tu vois .. je suis rentré sous la…
Contrerime XX. Est-ce moi qui pleurais ainsi —Ou des veaux qu’on empoigne - D’écouter ton pas qui s’éloigne, Beauté, mon cher souci ?
« Monsieur Jean, vous lirez l’alp… J’entends encore ce mot qui faisai… J’avais six ans, j’aimais les beau… Mais suivre ces longs traits qui n… Ce n’était point ma joie et je ne…
Attachement Je resterai en toi, toi chacun de… Clocher de ton église, sel de mes… Ce n était qu au début, où tout to… Juste du m’as tu vu, rien que de l…
Nous ferons, ma Diane, un jardin… J’en serai laboureur, vous dame et… Vous donnerez le champ, je fournir… Afin que son honneur soit commun à… Les fleurs dont ce parterre éjouir…
Sur un écueil battu par la vague p… Le nautonier de loin voit blanchir… Un tombeau près du bord par les fl… Le temps n’a pas encor bruni l’étr… Et sous le vert tissu de la ronce…
Bonjour .. je suis gay passions… J adore les beaux mecs .. les gar… J aime sucer le gland crémeux . Le jus du mâle .. le nectar des d… J adore branler quelques bites .
Chez mes pays, qui sont rustiques Dans tel cas simplement pieux, Voire un peu superstitieux, Entre autres pratiques antiques, Sur la tête du paysan,
Pour Henri le Grand, sous le nom… 1609. Quelque ennui donc qu’en cette abs… Avec une injuste licence Le Destin me fasse endurer,
Ciel ! après tes splendeurs, qui r… Liberté sainte ; après toutes ces… Tourbillon inouï ; Après ce Marengo qui brille sur l… Et qui ferait lâcher le premier B…
J’ay fait l’obseque de ma dame Dedens le moustier amoureux, Et le service pour son ame A chanté Penser doloreux. Mains cierges de soupirs piteux
« Esprit-Saint, descendez en » ce… Qui raillent l’antique cantique Où les simples mettent leurs vœux Sur la plus naïve musique. Versez les sept dons de la foi,
Nous lisons dans Legrand du Saull… Que le crétin a du goût pour L’arithmétique...tiens ! c’est drô… Et la musique...du tambour. Qu’il a du goût pour la peinture ;
Sur le Guadalquivir, en sortant d… Quand l’oeil à l’horizon se tourne… Les dômes, les clochers font comme… A chaque tour de roue il surgit un… D’abord la Giralda, dont l’angle…
En avant le destin, allons vers l… Devant est notre chemin, au loin e… Nombreux seront les freins, seul m… m’offrira le divin, ouvrant le por… Mais le doute me dépeint, une fres…
Ce soir après la pluie est doux ;… Si doux qu’on en voudrait pleurer,… Qu’on fuit tout défaillant la péno… C’est un soir de septembre un peu… De dimanche, et c’est l’heure ou c…
Maintenant il se dit :—L’empire e… La victoire est peu sûre.— Il cherche à s’en aller, furtif et… Reste dans la masure ! Tu dis :—Le plafond croule. Ils v…
Une muse, immobile et la tête penc… Ne chantait plus ; la lyre en soup… Et, se plaignant aux doigts de n’ê… Disait : « Quelle torpeur vous en… « Je ne puis rien sans vous, révei…
Le temps, si précieux soit-il, file à une allure variable qui le rend insaisissable. Certains jours semblent infiniment lents, terriblement navrants, tandis que d’autre paraissent filer...
Le Temps ne surprend pas le sage, Mais du Temps le sage se rit, Car lui seul en connaît l’usage : Des plaisirs que Dieu nous offrit Il sait embellir l’existence,
Contrerime IV. Ces roses pour moi destinées Par le choix de sa main, Aux premiers feux du lendemain, Elles étaient fanées.
Je suis une décision, pleine de ré… J’ai trouvé ma raison, la base de… En mon humble ambition, de fonder… Où tous les doutes s’envolent, ne… Une vie dont je raffole, avec cell…
Un soir, au temps du sombre équino… Où la mer forcenée et redoublant d… Se cambre et bat d’un lourd bélier… Nous étions dans un lieu qui domin… Heure trouble, entre l’ombre et le…
J’ai toujours cru qu’on était deux… qu’on habitait deux maisons, l’une… Habiter deux maisons, c’est vivre… habiter deux maisons, c’est vivre… habiter deux maisons, c’est ne viv…
III. J’ai vu comment, d’une patte, En ce siècle sans pareil, On épouse un cul-de-jatte, Et de l’autre, le soleil.
C est le journal et la poésie . C est des mots pas méchants . C est un aveugle .. qui rencontre… C est l histoire des ivoiriens . C est un manchot .. qui rencontre…
Viens je t’emmène Mon amie vient avec moi, errer dan… Contempler ce qui se trame sous ce… Admirer le devenir de notre planèt… Aux mains de l’homme, il en a fait…
Sonnet. Quelqu’un m’est apparu très loin d… C’était un ouvrier des hautes Pyr… Adolescent perdu dans ces foules t… Qu’écrasait le granit pour Chéops…
Après nous être mis là par miracle… Je nous vois tous deux filer le pa… Je ne cesse de vouloir te voir cha… T’embrasser en fixant tes yeux ver… Alors nous passons souvent du temp…
Il est pour tout mortel, soit que,… Un astre aux rayons purs illumine… Soit qu’il suive à pas lents un ce… Et, regrettant quelque ombre à son… Veille auprès de sa lampe, et répa…
Amitié désolée Parmi tous ces amis autour de moi, Qui me sont agréables quand je les… Je me rend compte, en étant seul e… De ces différences fragilisant cet…
Un village écoute désolé Le chant d’un oiseau blessé C’est le seul oiseau du village Et c’est le seul chat du village Qui l’a à moitié dévoré
Les bancs des boulevards extérieur… Alors qu’ils nous paraissent libre… Elles sont pour nous traduire en t… qualité mais oublie par trop de sp… Il suffit d’un souffle pour libére…
Les fourriers d’Amours m’ont logé En ung lieu bien à ma plaisance, Dont les mercy de ma puissance, Et m’en tiens à eux obligé. Afin que tost soit abregé
Quand vint le jour pluvieux, sur l… Elles devinrent mielleuses, de nua… Elles qui jadis naquirent, de cend… Là où le roi est pire, que la plus… Il surmonta les rires, de toutes c…
Contrerime XXXII. De tout ce gala de province Où l’on donnait Manon, Je ne revois plus rien sinon Ta forme étrange, et mince ;
C’est l Épilogue d Août . C’est un article sur le journal S… Les choses avancent et ça commence… Des arguments solides pour changer… Des paysages et la demeure .
Il y a dans ce carrefour une atmos… L’orange et le vert fleurissent le… Les inscriptions d’émail se lisent… La chanson du passant est la même… Le réverbère le même
Il est si tard, il fait, cette nui… Si triste dans mon cœur et si froi… Où je marche d’un pas âpre, le fro… Arrêtant les sanglots sur mes lèvr… Par les ressorts secrets et rudes…
Le lendemain du premier jour de ma… Dedens mon lit ainsi que je dormoy… Au point du jour m’avint que je so… Que devant moy une fleur je veoye, Qui me disoit : « Amy, je me soul…