... Je compose en esprit, sous les… L’Admirable !... le feu, des cirq… Il change le mont chauve en august… D’où s’exhale d’un dieu l’acte ret… Si le dieu chante, il rompt le sit…
Chute superbe, fin si douce, Oubli des luttes, quel délice Que d’étendre à même la mousse Après la danse, le corps lisse ! Jamais une telle lueur
Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n’est plus Que me voulez-vous oiseaux Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n’es plus je ne sais…
J’ai, quelque jour, dans l’Océan, (mais je ne sais plus sous quels c… Jeté, comme offrande au néant, Tout un peu de vin précieux... Qui voulut ta perte, ô liqueur ?
Où vas-tu mon enfant avec ces fleu… Sous la pluie Il pleut il mouille Aujourd’hui c’est la fête à la gre… Et la grenouille
Il n’avait peur de personne Il n’avait peur de rien Mais un matin un beau matin Il croit voir quelque chose Mais il dit
On dirait ton regard d’une vapeur… Ton oeil mystérieux (est-il bleu,… Alternativement tendre, rêveur, cr… Réfléchit l’indolence et la pâleur… Tu rappelles ces jours blancs, tiè…
Devant la porte de l’usine le travailleur soudain s’arrête le beau temps l’a tiré par la vest… et comme il se retourne et regarde le soleil
Le paon fait la roue le hasard fai… Dieu s’assoit dedans et l’homme le…
Vous n’avez réclamé ni gloire ni l… Ni l’orgue ni la prière aux agonis… Onze ans déjà que cela passe vite… Vous vous étiez servis simplement… La mort n’éblouit pas les yeux des…
Azur ! c’est moi... Je viens des… Entendre l’onde se rompre aux degr… Et je revois les galères dans les… Ressuciter de l’ombre au fil des r… Mes solitaires mains appellent les…
Mon arbre. Sous le mûrier platane, en été, do… Où l’ombre bienfaisante apaise not… Son feuillage éployé offre un toit… Un havre rafraîchissant aux heures…
L’un t’éclaire avec son ardeur, L’autre en toi met son deuil, Nat… Ce qui dit à l’un : Sépulture ! Dit à l’autre : Vie et splendeur… Hermès inconnu qui m’assistes
La muse Poète, prends ton luth et me donne… La fleur de l’églantier sent ses b… Le printemps naît ce soir ; les ve… Et la bergeronnette, en attendant…
La batteuse est arrivée la batteus… Ils ont battu le tambour ils ont battu les tapis ils ont tordu le linge ils l’ont pendu
Le long du vieux faubourg, où pend… Les persiennes, abri des secrètes… Quand le soleil cruel frappe à tra… Sur la ville et les champs, sur le… Je vais m’exercer seul à ma fantas…
Quels secrets dans mon coeur brûle… Âme par le doux masque aspirant un… De quels vains aliments sa naïve c… Fait ce rayonnement d’une femme en… Souffles, songes, silence, invinci…
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
Pourquoi le prononcer ce nom de la… Dans son brillant exil mon coeur e… Il résonne de loin dans mon âme at… Comme les pas connus ou la voix d’… Montagnes que voilait le brouillar…
Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur il dit oui à ce qu’il aime il dit non au professeur il est debout
Marcher au soleil Avec le vent qui s’éveille Qui danse Et dont la sueur émerveille Le corps de la mer.
Idole de ma vie, Mon tourment, mon plaisir, Dis-moi si ton envie S’accorde à mon désir ? Comme je t’aime en mes beaux jours…
La mère fait du tricot Le fils fait la guerre Elle trouve ça tout naturel la mèr… Et le père qu’est-ce qu’il fait le… Il fait des affaires
Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise
J’aime ton nom d’Apollonie, Echo grec du sacré vallon, Qui, dans sa robuste harmonie, Te baptise soeur d’Apollon. Sur la lyre au plectre d’ivoire,
La Pythie, exhalant la flamme De naseaux durcis par l’encens, Haletante, ivre, hurle !... l’âme Affreuse, et les flancs mugissants… Pâle, profondément mordue,
Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
Vers la fin d’un discours extrêmem… le grand homme d’Etat trébuchant sur une belle phrase creuse tombe dedans et désemparé la bouche grande ouve…
Dans les caveaux d’insondable tris… Où le Destin m’a déjà relégué ; Où jamais n’entre un rayon rose et… Où, seul avec la Nuit, maussade h… Je suis comme un peintre qu’un Di…
Il se faut entraider, c’est la loi… L’Âne un jour pourtant s’en moqua… Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature. Il allait par pays, accompagné du…
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile
C’était bien longtemps .. bonjour… Sur le journal bleu .. le poète é… Le soleil s’est levé du bon pied… Je suis assis sur le vieux taboure… J attends le retour du copain .
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
La sottise, l’erreur, le péché, la… Occupent nos esprits et travaillen… Et nous alimentons nos aimables re… Comme les mendiants nourrissent le… Nos péchés sont têtus, nos repenti…
Le soleil gît sur le sol Litre de vin rouge brisé Une maison comme un ivrogne Sur le pavé s’est écroulée Et sous son porche encore debout
C’est la légende et la nature . Le poing virgule et aucune rupture… La valeur n attends pas les années… Ton cœur ne pleure plus en secret… Le poète .. c’est le gaillard com…
La photographie : un groupe. Si le soleil passait, Si tu bouges. Fards. À l’intérieur, blanche et v… Dans le tunnel.
Je suis allé au marché aux oiseaux Et j’ai acheté des oiseaux Pour toi mon amour Je suis allé au marché aux fleurs
Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif,
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
Notre Père qui êtes aux cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terr… Qui est quelquefois si jolie
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
Beaucoup d’eau a passé sous les po… et puis aussi énormément de sang Mais aux pieds de l’amour coule un grand ruisseau blanc Et dans les jardins de la lune
Travaillez, prenez de la peine : C’est le fonds qui manque le moins… Un riche laboureur, sentant sa mor… Fit venir ses enfants, leur parla… « Gardez-vous, leur dit-il, de ven…
Le pauvre crocodile n’a pas de C cédille on a mouillé les L de la pauvre grenouille le poiss… Mais tous les oiseaux ont des aile… L avant 1" E
Il y a un miroir dans le nom de Mirô parfois dans ce miroir un uni… Tache solaire jaune d’œuf précolombien l’oiseau tonnerre roucoule dans le…
De sa profonde mère, encor froide… Voici qu’au seuil battu de tempête… Amèrement vomie au soleil par la m… Se délivre des diamants de la tour… Son sourire se forme, et suit sur…
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
Nous avons pensé des choses pures Côte à côte, le long des chemins, Nous nous sommes tenus par les mai… Sans dire... parmi les fleurs obsc… Nous marchions comme des fiancés
Tout rayonne, tout luit, tout aime… Les oiseaux semblent d’air et de l… L’âme dans l’infini croit voir un… À quoi bon exiler, rois ? à quoi b… Proscrivez-vous l’été ? m’exilez-v…
N’y va pas tout est combiné d’avance le match est truqué et quand il apparaîtra sur le ring environné d’éclairs de magnésium
Pille d’acier je n’aimais personne… Je n’aimais personne sauf celui qu… Mon amant mon amant celui qui m’at… Maintenant tout a changé est-ce lu… m’aimer
Sonnet. Qu’il est doux d’être au monde, et… Tu le disais ce soir par un beau j… Tu le disais, ami, dans un site en… Sur le plus vert coteau de ta forê…
Une fois, une seule, aimable et do… À mon bras votre bras poli S’appuya (sur le fond ténébreux de… Ce souvenir n’est point pâli); II était tard ; ainsi qu’une méda…
De sa grâce redoutable Voilant à peine l’éclat, Un ange met sur ma table Le pain tendre, le lait plat ; Il me fait de la paupière
Un homme entre chez une fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue