Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
À la sœur d’Astrée. Printemps, fils du Soleil, que la… De la fertile humeur d’une douce r… Au milieu des œillets et des roses… Quand Flore entre ses bras nourri…
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
Je suis comme le roi d’un pays plu… Riche, mais impuissant, jeune et p… Qui, de ses précepteurs méprisant… S’ennuie avec ses chiens comme ave… Rien ne peut l’égayer, ni gibier,…
Imaginez Diane en galant équipage… Parcourant les forêts ou battant l… Cheveux et gorge au vent, s’enivra… Superbe et défiant les meilleurs c… Avez-vous vu Théroigne, amante du…
Les amants des prostituées Sont heureux, dispos et repus ; Quant à moi, mes bras sont rompus Pour avoir étreint des nuées. C’est grâce aux astres nonpareils,
Fourmillante cité, cité pleine de… Où le spectre en plein jour raccro… Les mystères partout coulent comme… Dans les canaux étroits du colosse… Un matin, cependant que dans la tr…
Au milieu, l’Empereur, dans une a… Bleue et jaune, s’en va, raide, su… Flamboyant ; très heureux,– car il… Féroce comme Zeus et doux comme u… En bas, les bons Pioupious qui fa…
Chaque enfant qu’on enseigne est u… Quatre-vingt-dix voleurs sur cent… Ne sont jamais allés à l’école une… Et ne savent pas lire, et signent… C’est dans cette ombre-là qu’ils o…
Il me semble parfois que mon sang… Ainsi qu’une fontaine aux rythmiqu… Je l’entends bien qui coule avec u… Mais je me tâte en vain pour trouv… À travers la cité, comme dans un c…
Le ciel est noir, la terre est bla… —Cloches, carillonnez gaîment ! - Jésus est né ;– la Vierge penche Sur lui son visage charmant. Pas de courtines festonnées
Pourquoi le prononcer ce nom de la… Dans son brillant exil mon coeur e… Il résonne de loin dans mon âme at… Comme les pas connus ou la voix d’… Montagnes que voilait le brouillar…
Jouissez du repos que vous donne l… Vous étiez autrefois des coeurs tr… Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la h… Vos bouches, d’où sortait la vapeu…
Quand vous lirez, ô Dames Lionnoi… Ces miens escrits pleins d’amoureu… Quand mes regrets, ennuis, despits… M’orrez chanter en pitoyables carm… Ne veuillez pas condamner ma simpl…
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
Le firmament est plein de la vaste… Tout est joie, innocence, espoir,… Le beau lac brille au fond du vall… Le champ sera fécond, la vigne ser… Tout regorge de sève et de vie et…
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue
J’en ai vu un qui s’était assis sur le chapeau d’un autre il lui était absolument impossible de faire un geste ou de parler et l’autre l’autre qui cherchait « son » chapeau était plus p...
J’ai, quelque jour, dans l’Océan, (mais je ne sais plus sous quels c… Jeté, comme offrande au néant, Tout un peu de vin précieux... Qui voulut ta perte, ô liqueur ?
Combien faut-il de fois secouer me… Et baiser ton front bas, morne car… Pour piquer dans le but, de mystiq… Combien, ô mon carquois, perdre de… Nous userons notre âme en de subti…
Heureux comme la truite remontant… Heureux le cœur du monde Sur son jet d’eau de sang Heureux le limonaire Hurlant dans la poussière
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Comme je descendais des Fleuves i… Je ne me sentis plus guidé par les… Des Peaux-Rouges criards les avai… Les ayant cloués nus aux poteaux d… J’étais insoucieux de tous les équ…
L’âme triste est pareille Au doux ciel de la nuit, Quand l’astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ;
L’hiver, nous irons dans un petit… Avec des coussins bleus. Nous serons bien. Un nid de baise… Dans chaque coin moelleux. Tu fermeras l’oeil, pour ne point…
Le Soleil, le foyer de tendresse… Verse l’amour brûlant à la terre r… Et, quand on est couché sur la val… Que la terre est nubile et déborde… Que son immense sein, soulevé par…
La pendule, sonnant minuit, Ironiquement nous engage À nous rappeler quel usage Nous fîmes du jour qui s’enfuit : —Aujourd’hui, date fatidique,
Dans des terrains cendreux, calcin… Comme je me plaignais un jour à la… Et que de ma pensée, en vaguant au… J’aiguisais lentement sur mon coeu… Je vis en plein midi descendre sur…
Sa grandeur éblouit l’histoire. Quinze ans, il fut Le dieu que traînait la victoire Sur un affût ; L’Europe sous la loi guerrière
Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n’est pas celui d’un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t’adore, ô ma frivole,