Comme la main distraite et qui n’a… Précis, par la vertu secrète d’un… Décrit, sans y songer et machinale… Un contour au hasard jeté, toujour… Ainsi va ma pensée, et l’éternel p…
Je nous voyais comme Clyde et sa… Mais on ressemblait plus à Tom et… C’est frustrant car je n’ai jamais… T’es passé d’une inconnue à T. ma… La preuve tout ce temps je ne t’ai…
Vous demandez si l’amour rend heur… Il le promet, croyez-le, fût-ce un… Ah ! pour un jour d’existence amou… Qui ne mourrait ? la vie est dans… Quand je vivais tendre et craintiv…
Elle croyait, hélas ! pauvre enfan… Pouvoir suivre en son vol et ses b… L’âme de Lamartine, alors que sur… Il préludait près d’elle à ses pre… Vierge et Napolitaine, à ces chan…
Jeune ange aux doux regards, à la… Un instant près de vous je suis ve… Et, l’orage apaisé, comme l’oiseau… Mon bonheur s’en alla, n’ayant dur… Et puis, qui voulez-vous après qui…
Un jour, sur ses longs pieds, alla… Le Héron au long bec emmanché d’u… Il côtoyait une rivière. L’onde était transparente ainsi qu… Ma commère la carpe y faisait mill…
Ores qu’on voit le Ciel en cent m… Cracheter sur la terre une blanche… Et que du gris hyver la perruque c… Enfarine les champs de neige, et d… Je veux garder la chambre, et en m…
Je suis la prière qui passe Sur la terre où rien n’est à moi ; Je suis le ramier dans l’espace, Amour, où je cherche après toi. Effleurant la route féconde,
Petites violettes blanches, J’aime ce cadre de printemps Que vous me faites quand je penche Mon visage sur les étangs. Voyez, ma robe humble et fanée
Lettre d’adieux Voici, l’heure de mon départ est v… Et je dis au revoir à cette vie pl… Tant de souvenirs qui me reviennen… Ces moments de plaisir que j’ai eu…
C est la rubrique d Adélos . L homme et le marteau du forgeron… Le tourangeau .. le sabre du congo… C est le rideau d arbres .. c est… Le retors, qui as vendu l horloge…
Dans Naxos, où les fleurs ouvrent… Et que la douce mer baise avec des… Dans l’île fortunée, enchantement… Le divin Iacchos apporte ses déli… Entouré des lions, des panthères,…
Sois ton bourreau toi-même ; N’abandonne le soin de te martyris… A personne, jamais. Donne ton seu… Au désespoir ; déchaîne en toi l’â… Force ton âme, éreinte-la contre l…
Cette âme tourmentée Quelle est donc cette noirceur qui… Quelle est donc cette affliction q… Comment pourrais-je débarrasser mo… Alors qu’en moi un sentiment seman…
Jamais le ciel, le lac et la monta… Ont-ils brillé dans un accord si d… Jamais, le soir, embaumant la camp… Tant de parfums sont-ils montés ve… Jardins touffus, buissons chargés…
Encore un jour de brume, encore un… Un jour de solitude au coin d’un p… Depuis un mois, Paris qu’aucun so… Grelotte, et, l’œil tourné vers se… Vainement cherche au ciel une trac…
Enfant, pâle embryon, toi qui dors… Comme un petit dieu mort dans un c… Tu goûtes maintenant l’existence l… Du poisson qui somnole au-dessous… Tu vis comme la plante, et ton inc…
N’espérons plus, mon âme, aux prom… Sa lumière est un verre, et sa fav… Que toujours quelque vent empêche… Quittons ces vanités, lassons-nous… C’est Dieu qui nous fait vivre,
L’été brille ; Phœbus perce de mi… En haine de sa sœur, les vierges d… Et dans leurs flancs brûlés de fla… Il allume le sang des jeunes chass… Dans les sillons rougis par les fe…
Deux Mulets cheminaient, l’un d’a… L’autre portant l’argent de la Ga… Celui-ci, glorieux d’une charge si… N’eût voulu pour beaucoup en être… Il marchait d’un pas relevé,
Je me meurs, je succombe au destin… De ce dernier moment veux-tu charm… Viens encore une fois presser ta m… Sur mon cœur. Quand il aura cessé de brûler et d…
Tu le sais, le cœur seul a dicté c… Là, point de fictions, point d’art… En modulant ces vers, mon luth n’a… Il peint fidèlement ce que j’ai re… Les tourments de l’esprit, les ang…
Sonnet. Du pôle il va tenter les merveille… Il part, le grand navire ! Une pu… Au souffle d’un bon vent lève et t… Sur trois beaux mâts portant neuf…
Je t’apporte, ce soir, comme offra… D’avoir plongé mon corps dans l’or… Du vent joyeux et franc et du sole… Mes pieds sont clairs d’avoir marc… Mes mains douces d’avoir touché le…
Cette tasse de bois, noire comme u… Où j’ai su, d’une lame insinuante… Sculpter habilement la feuille du… Avec son pli, ses nœuds, sa vrille… Je la consacre à Pan, en souvenir…
Rencontre d Avril . 15 / 04 / 1983 . Tu vois .. ont s est connus en ha… De la Colline .. la muse de la p… Sur les hauteurs fleuris de Nice…
Jaloux bien à tort, chacun cède A l’erreur commune ici-bas : N’estimant que ce qu’il n’a pas, Il méconnaît ce qu’il possède. On croit beaucoup trop au voisin ;
Dans le jardin, sucré d’oeillets e… Lorsque l’aube a mouillé le serpol… Et que les lourds frelons, suspend… Chancellent, de rosée et de sève p… Je viendrai, sous l’azur et la bru…
Dans un flot de gaze et de soie, Couples pâles, silencieux, Ils tournent, et le parquet ploie, Et vers le lustre qui flamboie S’égarent demi-clos leurs yeux.
Dans l’ébullition de mon âge indom… J’allais droit à mon but, sûr que… Ni du temps, ni du lieu, ni des êt… Me faisait à ma guise homme ou mar… Commandait mon élan, seule guidait…
Philis, qu’est devenu ce temps Où dans un fiacre promenée, Sans laquais, sans ajustements, De tes grâces seules ornée, Contente d’un mauvais soupé
Le plus grand bozo naquit Dans une journée d’avril Sa mère souffrit Elle n’avait pas de sort de heal Le plus grand bozo naquit
Pendant que sur la scène autrefois… Où, l’épée au côté, la cape sur le… Les héros déroulaient leurs fiers… On accorde parfois au Cid une soi… Pendant qu’avec des cris, belle M…
Tandis que je parlais le langage d… Elle s’est doucement tendrement en… Comme une maison d’ombre au creux… Une lampe baissée au coeur des myr… Sa joue a retrouvé le printemps du…
Sonnet. Croissez, jeune héros ; notre doul… N’a que ce doux espoir qui la puis… Croissez, et hâtez-vous de faire v… Que le plus noble sang peut encor…
À Joseph Bertrand. Quand un ardent soleil s’éleva de… Tous les glorieux morts n’étaient… Habits galonnés d’or et capotes de… S’étalaient par lambeaux richement…
Amie consolatrice C’est dans une profonde tristesse Que mon coeur est plongé. Et toi, mon amie, tu viens me cons… De tous ces maux qui me blessent.
Quand vous venez, ô jeune beauté b… Par vos regards allumer tant de fe… On pense voir Cypris, fille de l’… Épanouir et les Ris et les Jeux. Chacun, épris d’un désir langoureu…
Toi, femme âprement désirée, Provocante et rieuse et souple et… Qui torturas mes nuits en affolant… À peine sur mon bras ta main fut-e… À peine eus-je saisi l’intention d…
Sonnet. Pendant avril et mai, qui sont les… Les couples, enchantés par l’éther… Ont ressenti l’amour comme une apo… Ils cherchent maintenant l’ombre e…
Cette vieille cloche d’église Qu’une gloire en larmes encor Blasonne, brode et fleurdelise, Rutile à nos yeux comme l’or. On lit le nom de la marraine,
C c’est la colonne du jeudi . C’est un article sur le journal M… L argent ne fait pas le bonheur… Surtout quand .. tu es devenu le… Celui, qui veut travailler .. san…
C est le texte du lundi . Les parents ne sont pas trop riche… Le père, c est le maçon du village… La mère est au foyer, pour s occup… Les parents feront le nécessaire…
Sonnet. Ne ris point des sonnets, ô critiq… Par amour autrefois en fit le gran… C’est sur ce luth heureux que Pét… Et que le Tasse aux fers soulage…
Des chemins où l’on va plongeant d… Et réclamant en vain quelque ombra… Des coteaux dépouillés de glèbe no… Des rocs blancs, dont l’éclat offe… Tant le soleil d’été les baise ave…
Rencontré soit de bêtes feu jetant Que Jason vit, quérant la Toison… Ou transmué d’homme en bête sept a… Ainsi que fut Nabugodonosor ; Ou perte il ait et guerre aussi vi…
Le hameau n’est qu’un tas sombre d… L’océan, sur la grève où flotte un… Exhale un long soupir qui monte et… Comme un être oppressé d’un éterne… Ce rythme tout-puissant pénètre da…
–GENTLEMAN-DOG FROM NEW… Mort d… Toi : ne pas suivre en domestique, Ni lécher en fille publique ! –Maître-philosophe cynique :
À Luci… Je porte des douleurs plus vieille… Mon cœur est encombré de chagrins… Et je sens quelquefois mon front d… De remords que je sais n’avoir pas…
La muse classique Tranquille amant des jeunes immort… Qui, sur le Pinde, ont proclamé t… Sois-leur dévot : fuis les routes… Point de salut hors de mon Hélico…
C’est l’hiver sans parfum ni chant… Dans le pré, les brins de verdure Percent de leurs jets fléchissants La neige étincelante et dure. Quelques buissons gardent encor
Ami, partez sans émoi ; l’Amour v… Pour faire fête à votre belle hôte… Vous dites donc qu’on aura cette n… Souper au vin du Rhin, grande lie… Et cotillon chez une poétesse.
Quand mon nez savoure ton délicieu… Et que nos regards se sont enfin r… Mon esprit voyage à travers mille… Tant mes narines brûlent de ce pla… Guidé par ton odeur vers d’occulte…
Petite maison basse, au grand chap… Qui, d’hiver en hiver, semble s’êt… Dans la terre sans fleurs, autour… Petite maison grise, au grand chap… Au lointain bleu, là-bas, dis-le-m…
C’est du séjour des Dieux que les… Les premières, dit-on, s’en allère… Au mont Hymette, et se gorger Des trésors qu’en ces lieux les zé… Quand on eut des palais de ces fil…
À Fran… La guirlande du sommeil, De nuit en nuit suspendue, Sur le pâle et frêle éveil Des jours humains est tendue.
Pourquoi semer sur notre route Tant de vains dogmes affligeants ? L’amour s’enfuit sans qu’on s’en d… Lorsqu’il voit venir les vieux ans… On chante une fois la romance
C est Limited Poésies . C est un article sur la colonne d… La gifle et une parole .. des mots… Ça peut blesser une personne fragi… C est la justice parallèle .
Bluet aux regards d’améthyste, Bluet aux yeux de ciel, dis-nous Ce qui te fait être si triste ? —J’ai vu ses yeux, j’en suis jalou… Et toi, simple églantine rose,
Un homme de moyen âge, Et tirant sur le grison, Jugea qu’il était saison De songer au mariage. Il avait du comptant,