C’est le dernier voyage .. le des… Ne reste pas au milieu du chemin… Peu n importe .. où il te mèneras… Peu n importe comment .. tu l emp… Toi seul .. tu décideras .
Le jeune homme dont l’oeil est bri… Le beau corps de vingt ans qui dev… Et qu’eût, le front cerclé de cuiv… Adoré, dans la Perse, un Génie in… Impétueux avec des douceurs virgin…
Tout regard se perd, tant la brume… Il ne fut jamais plus aveugle nuit… Au sein du néant je pourrais me cr… Si je n’entendais un immense bruit… Cette voix, ô mer ! C’est ta voix…
Au temps des Tournesols au temps des Rosalies Pierre Jacques et
L’araignée à moustaches n’est pas Napoléon III Qui s’ennuie quand il a froid.
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
Visage de bois visage de bois Je pars en rêvant ô mon amour ô mon roi Viennent les Printemps
On croit que c’est facile de ne ri… Ah ! du matin au soir je ne faisais rien rien
Quels secrets dans mon coeur brûle… Âme par le doux masque aspirant un… De quels vains aliments sa naïve c… Fait ce rayonnement d’une femme en… Souffles, songes, silence, invinci…
Oh ! Je voudrais tant que tu te souvien… des jours heureux où nous étions a… En ce temps-là la vie était plus b… et le soleil plus brûlant qu’aujou…
Quelle, et si fine, et si mortelle… Que soit ta pointe, blonde abeille… Je n’ai, sur ma tendre corbeille, Jeté qu’un songe de dentelle. Pique du sein la gourde belle,
Sur un trône de paille un cheval couronné un âne le fait rire vêtu comme un jockey Devinettes aimables
Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plu… Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on souffre est u… Confucius l’a dit ; suivons tous s…
~ Extraits ~ Tout ce qui jamais fut déchiré en… au milieu de l’assiette de son sou… Et pourtant que te reste-t-il du t… à peine peut-être certain sens
Or Gitche Manito, le Maître de l… Le Puissant, descendit dans la ve… Dans l’immense prairie aux coteaux… Et là, sur les rochers de la Roug… Dominant tout l’espace et baigné d…
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
En argot les hommes appellent les… c’est dire comme ils sentent que l… mais la languie verte des arbres e… Qui peut savoir ce qu’ils disent l… Les arbres parlent arbre comme les…
Dedham, vu de Langham. L’été est sombre Où des nuages se rassemblent. On pourrait croire
Étranges étrangers Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays loin
Quand j’étais jeune et fier et que… Les ailes de mon âme à tous les ve… Les voiles emportaient ma pensée a… Et mes rêves flottaient sur tous l… Je voyais dans ce vague où l’horiz…
C’est le moment crépusculaire. J’admire, assis sous un portail, Ce reste de jour dont s’éclaire La dernière heure du travail. Dans les terres, de nuit baignées,
La mer est plus belle Que les cathédrales, Nourrice fidèle, Berceuse de râles, La mer sur qui prie
Regardez un cœur transparent, Garde-le à l’esprit, pour t’en sou… Si je mets mon âme à nu devant toi… Cherche la consolation dans la tra… Face aux constats,
La batteuse est arrivée la batteus… Ils ont battu le tambour ils ont battu les tapis ils ont tordu le linge ils l’ont pendu
Je me jette dans le grand vide à c… Impromptue vague pourvue de virule… M’offre à une ville et à ses vertu… En accord parfait avec ma divergen… M’implanter ici de façon inopinée,
Qui est là Personne C’est simplement mon cœur qui bat Qui bat très fort A cause de toi
Saint-Valery-Sur-Somme. Oh ! combien de marins, combien de… Qui sont partis joyeux pour des co… Dans ce morne horizon se sont évan… Combien ont disparu, dure et trist…
Au milieu, l’Empereur, dans une a… Bleue et jaune, s’en va, raide, su… Flamboyant ; très heureux,– car il… Féroce comme Zeus et doux comme u… En bas, les bons Pioupious qui fa…
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Une nuit que j’étais près d’une af… Comme au long d’un cadavre un cada… Je me pris à songer près de ce cor… À la triste beauté dont mon désir… Je me représentai sa majesté nativ…