Morte ! oh ! serait-il vrai ? mort… À son calme avenir quel mal l’a do… Qui donc l’a pu frapper avant qu’e… Dans la fraîche candeur de ses pre… Quand elle n’était pas au tiers de…
Et des travailleurs de la paix avec des gardiens de la mer Un hussard de la farce avec un dindon de la mort Un serpent à café avec un moulin à lunettes Un chasseur de corde avec un dans...
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui… Ceux dont un dessein ferme emplit… Ceux qui d’un haut. destin graviss… Ceux qui marchent pensifs, épris d… Ayant devant les yeux sans cesse,…
Une jeune guenon cueillit Une noix dans sa coque verte ; Elle y porte la dent, fait la grim… Dit-elle, ma mère mentit Quand elle m’assura que les noix é…
les baisers des météorites le féroce dépoitraillement des vol… de jeux d’aigle la poussée des sous-continents arc… la montagne qui descend ses cavalc…
Le lézard de l’amour S’est enfui encore une fois Et m’a laissé sa queue entre les d… C’est bien fait J’avais voulu le garder pour moi.
L’étoile a pleuré rose au coeur de… L’infini roulé blanc de ta nuque à… La mer a perlé rousse à tes mammes… Et l’Homme saigné noir à ton flan…
Sur un trône de paille un cheval couronné un âne le fait rire vêtu comme un jockey Devinettes aimables
L’adultère, celui du moins codifié Au mépris de l’Église et de Dieu… Tout d’abord doit sembler la faute… Tel un trait lancé juste, ayant l’… Beaucoup de vrais croyants, questi…
Harpagon, qui veillait son père ag… Se dit, rêveur, devant ces lèvres… « Nous avons au grenier un nombre… Ce me semble, de vieilles planches… Célimène roucoule et dit : « Mon…
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Les rideaux sont baissés & la port… Un seul rayon perdu glisse furtive… Et vient illuminer l’atmosphère em… Là, dans son grand fauteuil la mèr… Tenant sur ses genoux la Bible de…
À Guy. Il était un grand mur blanc ? nu,… Contre le mur une échelle ? haute,… Et, par terre, un hareng saur ? se… Il vient, tenant dans ses mains ?…
Et c’est bien autre chose encore pour les gens de mauvaise humeur pour les gens du mauvais amour qui se baladent dans tous les sens et sauf dans celui de l’humour D’ailleurs dans l’argo...
Tout est différent, et rien à chan… Tu sais, ce sentiment de sécurité… Ce renouveau pas si nouveau qui re… Cette envie d’explorer cette nouve… Ça doit être cette fameuse peur de…
Azur ! c’est moi... Je viens des… Entendre l’onde se rompre aux degr… Et je revois les galères dans les… Ressuciter de l’ombre au fil des r… Mes solitaires mains appellent les…
Bientôt nous plongerons dans les f… Adieu, vive clarté de nos étés tro… J’entends déjà tomber avec des cho… Le bois retentissant sur le pavé d… Tout l’hiver va rentrer dans mon ê…
Henriette, Henriette, hélas ! com… Ont conçu, comme toi, la sainte am… De rendre une âme belle à l’égal d… Et meurent, comme toi, de leur déc… Oh ! combien, comme toi, pauvre an…
Mon coeur, lassé de tout, même de… N’ira plus de ses voeux importuner… Prêtez-moi seulement, vallon de mo… Un asile d’un jour pour attendre l… Voici l’étroit sentier de l’obscur…
L’été, lorsque le jour a fui, de f… La plaine verse au loin un parfum… Les yeux fermés, l’oreille aux rum… On ne dort qu’à demi d’un sommeil… Les astres sont plus purs, l’ombre…
Puisqu’ici-bas toute âme Donne à quelqu’un Sa musique, sa flamme, Ou son parfum ; Puisqu’ici toute chose
Mes fils, soyez contents ; l’honne… Et vous, mes deux amis, la gloire,… Couronne votre nom par l’affront d… Offrez aux juges vils, groupe abje… Toi, ta douceur intrépide,
L’homme s’enfuit, le cheval tombe, La porte ne peut pas s’ouvrir, L’oiseau se tait, creusez sa tombe… Le silence le fait mourir. Un papillon sur une branche
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Oubliettes des châteaux de sable Meurtrières fenêtres de l’oubli Tout est toujours pareil Et cependant tout a changé Tu étais nue dans le soleil
O les charmants nuages roses, Les jolis prés verts tout mouillés… Après les vilains mois moroses, Les petits oiseaux réveillés S’envolent aux champs dépouillés.
L’aube est moins claire, l’air moi… Le soir brumeux ternit les astres… Les longs jours sont passés ; les… Hélas ! voici déjà les arbres qui… Comme le temps s’en va d’un pas pr…
J’ai fait autrefois de la bête, J’avais des Philis à la tête, J’épiais les occasions, J’épiloguais mes passions, Je paraphrasais un visage.
Fable VIII, Livre I. Quoi ! je ne me vengerais pas De cette maudite vipère ! Disait un lézard a son père. Pourquoi fuirais-je les combats ?
Entendez-vous Entendez-vous gens du Viet-Nam entendez-vous dans vos c… Oui nous les entendons Ces êtres inférieurs
Mon frère, la tempête a donc été b… Le vent impétueux qui souffle et n… De récif en récif. A donc, quand vous partiez, d’une… Creusé le vaste abîme et boulevers…
Ce petit homme grisonnant S’en venait encore à l’automne, Le regard vif, l’air avenant, En poussant son cri monotone. Mais qu’il est changé maintenant !
Lion ! J’étais pensif, ô bête pri… Devant la majesté de ta grave crin… Du plafond de ta cage elle faisait… Nous songions tous les deux, et tu… Ton regard était beau, lion. Nous…
Mouvement des navires mouvement de… Tu t’étais fait attendre pendant d… A la porte du Sept le garçon a frappé il m’a don… Mouvement des navires mouvement de…
Le regard singulier d’une femme ga… Qui se glisse vers nous comme le r… Que la lune onduleuse envoie au la… Quand elle y veut baigner sa beaut… Le dernier sac d’écus dans les doi…
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix ancienn… Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon coeur en délires
L’ombre des arbres dans la rivière… Meurt comme de la fumée, Tandis qu’en l’air, parmi les ramu… Se plaignent les tourterelles. Combien, ô voyageur, ce paysage bl…
En Afrique, il existe beaucoup d’antilopes ; ce sont des animaux charmants et très rapides à la course. Les habitants de l’Afrique sont les hommes noirs, mais il y a aussi des hommes bl...
L’aube je t’aime j’ai toute la nui… Toute la nuit je t’ai regardée J’ai tout à deviner je suis sûr de… Elles me donnent le pouvoir De t’envelopper
Ce ne seront jamais ces beautés de… Produits avariés, nés d’un siècle… Ces pieds à brodequins, ces doigts… Qui sauront satisfaire un coeur co… Je laisse à Gavarni, poète des ch…
C est l esquisse de la poésie . Les remparts historiques du châtea… Sur la butte rouge de la Cité. Dans la vallée de Sofia et du fle… Dans la brousse .. le vent est ve…
Vents, souffles du zénith obscur e… N’éveillerez-vous pas quelque imme… Là-haut, dans le ciel sombre, en f… Puisque deux nations vont en venir… Parce que les deux rois se sont pr…
L’homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et rich… Qu’il faut qu’il remue et défriche Avec le fer de la raison ; Pour obtenir la moindre rose,
A tes vingt ans Pablo à tes vingt ans d’hier et à… Tu tiens le bon bout de la corde d… Temps chaque jour c’est l’anniversaire d…
Les liens d’illusions nombreuses Nos esprits nous trompent. En nous liant avec de nombreux fil… Libérez-vous des liens qui vous at… Et déverrouillez votre esprit.
Quand tu constates les ravages Du mal qu’autrefois tu m’as fait, Devant cette mer sans rivages, Tu sembles rester stupéfait. Et de tes paupières baissées,
Une chouette était sur une porte c… Larve de l’ombre au toit des homme… La nature, qui mêle une âme aux ra… Qui remplit tout, et vit, à des de… Dans la bête sauvage et la bête de…
Ils erraient ils ne savaient où passer leur soi… C’étaient de malheureux vivants à… Je suis passeur de mon métier trép… Pour eux le temps c’était de l’arg…
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
Les courses furent intrépides (Comme aujourd’hui le repos pèse !… Par les steamers et les rapides. (Que me veut cet at home obèse ?) Nous allions,—vous en souvient-il,
Vulnerant omnes, ultima necat. La voiture fit halte à l’église d’… Nom rauque, dont le son à la rime… Mais qui n’en est pas moins un vil… Sur un sol montueux perché bizarre…
Une femme se jette dans une rivièr… Cette rivière se jette dans un fle… Un homme se jette dans ce fleuve Et ce fleuve se jette dans la mer Et la mer rejette sur la terre
Ô mon enfant, tu vois, je me soume… Fais comme moi : vis du monde éloi… Heureuse ? non ; triomphante ? jam… —Résignée !— Sois bonne et douce, et lève un fr…
C’est un large buffet sculpté ; le… Très vieux, a pris cet air si bon… Le buffet est ouvert, et verse dan… Comme un flot de vin vieux, des pa… Tout plein, c’est un fouillis de v…
Quand tu dors à que rêves-tu, Toi, leur seule & chère espérance… À laquelle, ô cœur combattu, T’arrêtes-tu de préférence ? Est-ce à celle qui dort toujours
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étrd-gnant ton om...
Au globule de vie toute la chance… tôt décidés que disparus dont elle… C’est comme les perles de ces peti… jusqu’au dernier alvéole une bouch… La tête d’Ogmius coiffée du sangl…
Rubens, fleuve d’oubli, jardin de… Oreiller de chair fraîche où l’on… Mais où la vie afflue et s’agite s… Comme l’air dans le ciel et la mer… Léonard de Vinci, miroir profond…
Un homme aveo une boîte Entre au musée du Louvre Et s’assoit sur un banc Examinant la boîte
RÉCIT ...Et les collines soulevèrent de… leurs épaules sans paille, de leur… terre noire, de nénuphar torrentie… horrible du ciel tenace.