"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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L’océan me disait : Ô poète, homme… J’ai parfois comme toi cette surpr… Qu’il me descend des cieux une imm… Et je suis traversé tout à coup, ô… Par la foudre sublime, irritée et…
IX. Toi qu’aimait Juvénal gonflé de l… Toi dont la clarté luit dans l’oei… Muse Indignation, viens, dressons… Dressons sur cet empire heureux et…
Le bal champêtre est sous la tente… On prend en vain des airs moqueurs… Toute une musique flottante Passe des oreilles aux coeurs. On entre, on fait cette débauche
Sonnez, sonnez toujours, clairons… Quand Josué rêveur, la tête aux c… Suivi des siens, marchait, et, pro… Sonnait de la trompette autour de… Au premier tour qu’il fit, le roi…
Vents, souffles du zénith obscur e… N’éveillerez-vous pas quelque imme… Là-haut, dans le ciel sombre, en f… Puisque deux nations vont en venir… Parce que les deux rois se sont pr…
Ô Robert, un conseil. Ayez l’air… Soyons homme d’esprit. Le moment… Je le sais ; le quart d’heure est… Cette Californie est riche en min… D’accord ; mais cependant quand un…
Ainsi, quand Mazeppa, qui rugit e… A vu ses bras, ses pieds, ses flan… Tous ses membres liés Sur un fougueux cheval, nourri d’h… Qui fume, et fait jaillir le feu d…
Sur des livres où rien n’était écr… Quatre hommes méditaient quand mou… Tournés au nord, au sud, au coucha… Ces hommes se nommaient Luc, Jean… Pendant que sur leur noir registre
Les mères ont senti tressaillir le… Les lourds caissons chargés de boî… Courent, et l’on dirait qu’ils bon… Le peuple de Paris, pensif, les s… Et s’en va par les quais vers les…
« Allah ! qui me rendra ma formida… Emirs, cavalerie au carnage animée… Et ma tente, et mon camp, éblouiss… Qui la nuit allumait tant de feux,… On eût dit que le ciel sur la coll…
L’aube naît, et ta porte est close… Ma belle, pourquoi sommeiller ? À l’heure où s’éveille la rose Ne vas-tu pas te réveiller ? Ô ma charmante,
Quand vous vous assemblez, bruyant… Pour aller le traquer jusqu’en sa… Vous excitant l’un l’autre, acharn… –Ne le sentez-vous pas ? – le peup… Qui rêvait à vos cris un dragon da…
L’objet est illustre Dans ce temps caduc. Le duc sonne un rustre, Le roi sonne un duc. Siècle étrange ! il taille,
Nous étions, elle et moi, dans cet… De l’amour qui commence en éblouis… Ô souvenirs ! ô temps ! heures éva… Nous allions, le coeur plein d’ext… Ensemble dans les bois, et la main…
Qui peut savoir combien de jalouse… De haines, par l’envie en tous lie… De sourds ressentiments, d’inimiti… D’orages à courber les plus sublim… Combien de passions, de fureurs, d…