"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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Puisque rien ne t’arrête en cet he… Ni l’ombre du palmier, ni le jaune… Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeu… De nos sœurs, dont, les soirs, le…
Quand une lueur pâle à l’orient se… Quand la porte du jour, vague et p… Commence à s’entr’ouvrir et blanch… Comme l’espoir blanchit le seuil d… Se réveiller, c’est bien, et trava…
Je m’étais endormi la nuit près de… Un vent frais m’éveilla, je sortis… J’ouvris les yeux, je vis l’étoile… Elle resplendissait au fond du cie… Dans sa blancheur molle, infinie e…
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Heureux l’homme, occupé de l’étern… Qui, tel qu’un voyageur qui part d… Se réveille, l’esprit rempli de rê… Et, dès l’aube du jour, se met à l… A mesure qu’il lit, le jour vient…
Dieu qui sourit et qui donne Et qui vient vers qui l’attend, Pourvu que vous soyez bonne, Sera content. Le monde où tout étincelle,
Puisque mai tout en fleurs dans le… Viens ! ne te lasse pas de mêler à… La campagne, les bois, les ombrage… Les larges clairs de lune au bord… Le sentier qui finit où le chemin…
Tu viens d’incendier la Bibliothè… —Oui. J’ai mis le feu là. —Mais c’est un crime inouï ! Crime commis par toi contre toi-mê…
Amis, mes deux amis, mon peintre,… Vous me manquez toujours, et mon â… Vous redemande ici. Des deux amis, si chers à ma lyre… Pas un ne m’est resté. Je t’en ve…
Donc, c’est moi qui suis l’ogre et… Dans ce chaos du siècle où votre c… J’ai foulé le bon goût et l’ancien… Sous mes pieds, et, hideux, j’ai d… Et l’ombre fut.—Voilà votre réqui…
Je suis triste quand je vois l’hom… Le vrai décroît dans les esprits. L’ombre qui jadis noya Rome Commence à submerger Paris. Les rois sournois, de peur des cri…
III. Plus loin ! allons plus loin !—Au… J’aime à voir dans les champs croî… Et puis, la ville est là ! je l’en… Pour que j’écoute en paix ce que d…
On devient attentif et rêveur, on… A voir passer là-haut quelque grou… Des choeurs éblouissants, des fête… Des archanges menant des pompes tr… Des âmes dans la gloire et dans l’…
Contempler dans son bain sans voil… Une fille aux yeux innocents ; Suivre de loin de blanches voiles… Voir au ciel briller les étoiles Et sous l’herbe les vers luisants…
Comme elle court ! voyez ! – Par… Par les gazons tout pleins de touf… Par les blés où le pavot brille, Par les chemins perdus, par les ch… Par les monts, par les bois, par l…