#ÉcrivainsFrançais
Que veux-tu que je devienne Je me sens mourir Secours-moi Ah Paris... le
Le point de l’appareil montre le r… Le regard Le hasard des mots venant au bout… Le retard du lever de la toile Sous les lampes vides et presques…
L’air sent la mer L’hiver a une pareille altitude m’… On ne sait où naissent les vents Ni quelle direction ils prennent La maison tangue comme un bateau
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle
En face du mur sur la glace le pér… Dans les parures du papier aux vit… L’air est gai l’air est frais Le ciel est plus bas et plus sombr… On compte d’ici là le temps qu’il…
II criait dans la ruelle à l’abri Je suis le mari de cette femme déb… Qui vous montrera son cœur et son… Regardez L’heure du départ avait depuis lon…
En passant une seule fois devant c… mon front Qui est là Quel chemin est venu finir à cet e… Quelle vie arrêtée
Le vent revient plus tard du chemi… Les mains pendent au bord du livre Tête nue l’homme traverse l’heure… Sur la pointe où le ciel se fixe L’étoile et son pignon
Toute la face ronde Au coin sombre du ciel L’épée la mappemonde sous les rideaux de Pair
C’était peut-être la première fois qu’il voyait quelque chose de clair. Il se sentait accroché au dernier wagon du train de luxe pour quelque destination magnifique et regardait distrai...
Il y a des mains qui passent Quelque chose passe dans le vent Trois têtes au moins se balancent Mes yeux partent à fond de train J’arriverais à temps
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Au coin de la rue sous le seul bec… Il fait sombre, plus loin, et la n…
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
La cheminée garde le toit Gomme le sommet la montagne Le ciel passe derrière et le nuage… Contre l’œil qui regarde Minuit