#ÉcrivainsFrançais
Toute la face ronde Au coin sombre du ciel L’épée la mappemonde sous les rideaux de Pair
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Chemin faisant dans les clartés si… Dans l’obscurité complète le temps… Roulé au fond sombre du circuit et… Tout ce qui luit Qui s’éteint
Dans la rue ce sont avec la couleu… ciel large et bas les pavés luisan… La rue est divisée en cadres blanc… marque son pas où la pluie joue au… les grosses gouttes de l’orage
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Une petite tache brille entre les… La chambre est vide et les volets… C’est le jour qui entre ou quelque… Le paysage du mur—l’horizon de der… Il y a des arbres et des nuages, d…
Je m’attendais à tout ce qui peut… La tête en bas Les pieds touchant la tête Et tout ce qui dans l’angle remuai… Contre le mur
Sur les murs de cette salle, où le festin a lieu les traces de ta vie modeste et fade. Mais aujourd’hui les paroles sont plus fortes, les gestes sont plus grands, et le bruit plus joyeu...
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Dans la ville il n’y a plus person… On monte à travers les bois Quelques-uns tombent Et ceux qui arriveront trop tard C’est toi
La– vie est simple et gaie Le soleil clair tinte avec un brui… Le son des cloches s’est calmé Ce matin la lumière traverse tout Ma tête est une rampe allumée
Sous la vitre L’abri des gouttes de rosée Et le long des gouttières Entre les deux nuages Le plomb au bout du fil
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
Mince et froide l’aile du temps s’… Et l’air au bout du jour vient ajo… L’écho des plaintes et les murmure… L’heure passe aux couleurs Les numéros s’égalent