Prosa
#ÉcrivainsFrançais
La seule clef du ciel entre ces ro… C’est l’aigle Quand la lame de fer coupe la vagu… Ma main écrit ton nom sur la glace… Un navire indécis navigue vers mes…
Vision bariolée et délicate dans sa tête, tu fuis la mienne. Il possède les astres et les animaux de la terre, les paysans et les femmes pour s’en servir. L’Océan l’a bercé, moi la mer,...
Il est allongé et il dort. C’est un corps mort. Un dernier rayon éclaire son visage calme où brillent des dents sans éclat. Les heures sonnent doucement autour de sa tête ; il ne les en...
Après la charge, après la ronde je… Un autre soldat que moi dort dans… Quand je me réveille, en sursaut,… Le même cauchemar qui nous unissai…
Je suis au milieu d’un nuage de neige ou de fumée L’éclat du jour fait son tapage la fenêtre en battant ouvre le mur… et l’œil déjà baissé
Sa face écarlate illumine la chambre où il est seul. Seul avec son portrait qui bouge dans la glace. Est-ce bien lui ? Serait-ce l’œil d’un autre ? Il n’en aurait pas peur. Son pied man...
On parlait encore là derrière Des hommes passaient deux à deux C’était peut-être une prière Qui montait des cœurs du milieu Entre les murs de la clairière
La cloche qui sonnait au loin Dès le réveil Battement d’aile Sur ma tête où joue le soleil Un souvenir remue à peine
A la pointe où se balance un mouch… Au fond noir qui finit le monde Devant nos yeux un petit espace Tout ce qu’on ne voit pas Et qui passe
On entre par la porte à côté La maison est triste et reste ferm… Quelqu’un passe sous la fenêtre et… On a peur de faire du bruit Des milliers de lumières s’allumen…
Les rideaux déchirés se balancent C’est le vent qui joue Il court sur la main entre par la… Ressort et s’en va mourir n’import… Le vent lugubre et fort emporte to…
Le teint de lait du panache au mom… Entre les avenues l’étoile et les… Au lieu de gouttes d’eau c’est le… Le monument s’ébroue Le matin se soulève et retombe un…
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Les plaques de soleil de lait bleu ciel Et la joie des oreilles sur le cou… Marteau pilon soleil de plomb
Devant le bateau immobile Quelqu’un qui attend C’est le port qui bouge Il fait trop de vent le niveau de… tant la mer est lasse