Prose
#ÉcrivainsFrançais
Au milieu de cet attroupement il y a avec un enfant qui danse un homme qui soulève des poids. Ses bras tatoués de bleu prennent le ciel à témoin de leur force inutile. L’enfant danse, l...
Je ne veux plus rien voir Tous les trains sont passés Un tourbillon de neige entoure la… Qui tombe Dans un fossé
Sa main tendue est une coquille où… Et l’eau sous la gouttière fait un bruit de métal Derrière le rideau une figure roug… Dans l’air blanc matinal
Le soir Il y a des bras dans la rue qui s’… Des mains dans le jardin Des plaies qui saignent Il y a des murmures dans le vent
En face de mon œil la corne du cro… Au bout d’un plus long bras Que toutes les fenêtres s’éclairen… Que la lune frappe plus fort aux v… Que les plaques de plâtre avec les…
C’est une étonnante chimère. La tête, plus haut que cet étage, se place entre les deux fils de fer et se cale et se tient ; rien ne bouge. La tête inconnue parle et je ne comprends aucu...
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
Elle est allumée On ne voit plus qu’elle Et le cœur triangulaire Qui brille au soleil Une matinée
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Il est allongé et il dort. C’est un corps mort. Un dernier rayon éclaire son visage calme où brillent des dents sans éclat. Les heures sonnent doucement autour de sa tête ; il ne les en...
Si j’ai ri ce n’est pas du monde é… Les têtes penchées ou droites me f… Les jambes qui courent tremblent e… Je n’ai pas ri du monde qui passai…
On passe comme des bœufs Sur le quai les lumières s’allonge… Le wagon tourne sur la roue du mil… Les chevelures se dressent dans la… Les mots qui passent font du bruit
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
Une éclaircie avec du bleu dans le ciel ; dans la forêt des clairières toutes vertes ; mais dans la ville où le dessin nous emprisonne, l’arc de cercle du porche, les carrés des fenêtre...
Le feu couve au brasier Les regards les attentes Tous ces visages-là penchés près d… Où se lit l’histoire simple et mag…