#ÉcrivainsFrançais
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Je m’attendais à tout ce qui peut… La tête en bas Les pieds touchant la tête Et tout ce qui dans l’angle remuai… Contre le mur
L’air sent la mer L’hiver a une pareille altitude m’… On ne sait où naissent les vents Ni quelle direction ils prennent La maison tangue comme un bateau
Apres un voyage trop long et des insomnies prolongées, seule la plus grande joie vient t’attendre. Sans aucune certitude ni garantie avec tous les efforts, seulement permis et promis, t...
Il faudrait passer là devant Paroles que le vent emporte Combien nous faudra-t-il de temps Encore une minute et je suis là Je reste seul contre la porte
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle
L’enseigne de la rue dévoile son m… Le bras tendu près du balcon porte… Les yeux sont agrandis par un dern… Le clocher devient bas Un nuage le casse
S’arrêter devant le soleil Après la chute ou le réveil Quitter la cuirasse du temps Se reposer sur un nuage blanc Et boire au cristal transparent
Là-haut Le creux marin Au bord des hémisphères La houle passe en bloc par-dessus… Les racines du monde pendent
Une ombre était passée ce soir sur… Sur la bande du ciel Et sur la plaine ouverte Où tombait un rayon Elle restait immobile
Dans la lutte implacable de l’homm… Dans la mécanique sévère le cylind… L’homme né vigoureux progresse au… La campagne est déserte et sinistr… Mais personne ne passe
Le mélange des voix des êtres sous… les frissons des arbres l’étreinte des revirements de fumé… le recul des mains le cœur assassi… Tout l’or et le sang les poitrines…
Une niche Un nombre Une troupe d’hommes Tout le bout est là On n’avance plus
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide