#ÉcrivainsFrançais
Sur le seuil personne Ou ton ombre Un souvenir qui resterait La route passe Et les arbres parlent plus près
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus
La nuit polaire A bord les hublots sont ouverts Les trappes bâillent Assis sur le balcon qui se détache Le voilà sur fond bleu
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
Sur son pied droit brille une très ancienne boucle et sur l’autre, en l’air, la menace. N’approche pas de son domaine où dort tout le passé désagréable. Qui es-tu ? Sans prévoir ce qui ...
Les bras se levaient vers la croix et la tête restait pendue au flot de ses cheveux, sous la lucarne. Sur les marches il n’y a plus que l’ombre que le soleil projette et les mains perdu...
Les ailes sont chargées Le désespoir s’envole Mes mains ont laissé descendre len… Le rideau sans plis de ma mémoire Mais l’intermède du jour bruyant s…
La– vie est simple et gaie Le soleil clair tinte avec un brui… Le son des cloches s’est calmé Ce matin la lumière traverse tout Ma tête est une rampe allumée
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Dans la rue où personne ne passe Entre le numéro et le numéro Quelque temps qu’il fasse Tout ce jour-là et les suivants Je suis là j’attends
S’arrêter devant le soleil Après la chute ou le réveil Quitter la cuirasse du temps Se reposer sur un nuage blanc Et boire au cristal transparent
Je croise la maison toujours inhab… Là se tient le grand homme lourd e… La rive est plus basse que l’eau Le ciel est plus profond et moins… Je crois que les voisins sont asse…
Tout est calme Pendant l’hiver Au soir quand la lampe s’allume A travers la fenêtre où on la voit… Sur le tapis des mains qui dansent
Le soir couchant ferme une porte Nous sommes au bord du chemin Dans l’ombre près du ruisseau où tout se tient Si c’est encore une lumière