Paysages belges
#ÉcrivainsFrançais
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Parfois je sens, mourant des temps… Mon immense douleur s’enivrer d’es… En vain l’heure honteuse ouvre des… En vain bâillent sous nous les dés… Pour engloutir l’abus de notre âpr…
Vous reviendrez bientôt, les bras… Selon votre coutume, Ô Pères excellents qu’aujourd’hui… Pour comble d’amertume. Vous reviendrez, vieillards exquis…
Chair! ô seul fruit mordu des verg… Fruit amer et sucré qui jutes aux… Des affamés du seul amour, bouches… Et bon dessert des forts, et leurs… Amour! le seul émoi de ceux que n’…
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
Chemise de femme, armure ad hoc Pour les chers combats et le gai c… Avec, si frais et que blancs et gr… Sortant tout nus, joyeux, les deux… Vêtement suprême,
Ô poète, faux pauvre et faux riche… Jusqu’en l’extérieur riche et pauv… (Dès lors, comment veux-tu qu’on s… Tour à tour souple drôle et monsie… Du vert clair plein d’ « espère »…
Petit Jésus qu’il nous faut être, Si nous voulons voir Dieu le Père… Accordez-nous d’alors renaître En purs bébés, nus, sans repaire Qu’une étable, et sans compagnie
Despotique, pesant, incolore, l’E… Comme un roi fainéant présidant un… S’étire par l’ardeur blanche du ci… Et bâille. L’homme dort loin du t… L’alouette au matin, lasse, n’a pa…
Nos repas sont charmants encore qu… Grâce à ton art profond d’accommod… Du rôti d’hier ou de ce récent pot… En hachis et ragoûts comme on n’en… Le vin n’a pas ce nom, car à quoi…
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Le vent de l’autre nuit a jeté bas… Qui, dans le coin le plus mystérie… Souriait en bandant malignement so… Et dont l’aspect nous fit tant son… Le vent de l’autre nuit l’a jeté b…
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…