Paysages belges
#ÉcrivainsFrançais
Sécheresse maligne et coupable lan… Il n’est remède encore à vos trist… Que telles dévotions surérogatoire… Comme des mois de Marie et du Sac… Éclat et parfum purs de fleurs rou…
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Ce fut bizarre et Satan dut rire. Ce jour d’été m’avait tout soûlé. Quelle chanteuse impossible à dire Et tout ce qu’elle a débagoulé ! Ce piano dans trop de fumée
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.
Un singe en veste de brocart Trotte et gambade devant elle Qui froisse un mouchoir de dentell… Dans sa main gantée avec art, Tandis qu’un négrillon tout rouge
Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâme… A sa particularité. L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos coeurs
Guerrière, militaire et virile en… La sainte Chasteté que Dieu voit… De toutes les vertus marchant dans… Après la Charité distante presque… Va d’un pas assuré mieux qu’aucune…
Toute grâce et toutes nuances Dans l’éclat doux de ses seize ans… Elle a la candeur des enfances Et les manèges innocents. Ses yeux, qui sont les yeux d’un a…
Là ! Je me tue à vos genoux ! Car ma détresse est infinie, Et la tigresse épouvantable d’Hyr… Est une agnelle au prix de vous. Oui, céans, cruelle Clymène,
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Le soleil du matin doucement chauf… Les seigles et les blés tout humid… Et l’azur a gardé sa fraîcheur de… L’on sort sans autre but que de so… Le long de la rivière aux vagues h…
Ce soir je m’étais penché sur ton… Tout ton corps dormait chaste sur… Et j’ai vu, comme un qui s’appliqu… Ah ! j’ai vu que tout est vain sou… Qu’on vive, ô quelle délicate merv…
Le paysage dans le cadre des porti… Court furieusement, et des plaines… Avec de l’eau, des blés, des arbre… Vont s’engouffrant parmi le tourbi… Où tombent les poteaux minces du t…
Calmes dans le demi-jour Que les branches hautes font, Pénétrons bien notre amour De ce silence profond. Fondons nos âmes, nos coeurs
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon cœur D’une langueur