Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Sur fond sombre noyant un riche ve… Où le buste d’Horace et celui de… Lointain et de profil rêvent en ma… La main gauche au poignard et la m… Tandis qu’un rire doux redresse la…
Lorsque tu cherches tes puces, C’est très rigolo. Que de ruses, que d’astuces ! J’aime ce tableau. C’est, alliciant en diable
Tu bois, c’est hideux ! presque au… Je bois, c’est honteux, presque pl… Ce n’est plus ce qu’on appelle une… Ah ! la femme, fol, fol est qui s’… Les hommes, bravo ! c’est fier et…
L’un toujours vit la vie en rose, Jeunesse qui n’en finit plus, Seconde enfance moins morose, Ni vœux, ni regrets superflus. Ignorant tout flux et reflux,
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable
Après la chose faite, après le cou… Après le joug très dur librement a… Et le fardeau plus lourd que le ci… Levé d’un dos vraiment et gaîment… Après la bonne haine et la chère r…
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur : Aï, Beaune, Sauterne, Grave. Ton rire éclaire mon vieux cœur.
Les plus belles voix De la Confrérie Célèbrent le mois Heureux de Marie. Ô les douces voix !
Guerrière, militaire et virile en… La sainte Chasteté que Dieu voit… De toutes les vertus marchant dans… Après la Charité distante presque… Va d’un pas assuré mieux qu’aucune…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Le couchant dardait ses rayons sup… Et le vent berçait les nénuphars b… Les grands nénuphars entre les ros… Tristement luisaient sur les calme… Moi j’errais tout seul, promenant…
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Ce ne sont pas des mains d’altesse… De beau prélat quelque peu saint, Pourtant une délicatesse Y laisse son galbe succinct. Ce ne sont pas des mains d’artiste…