Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Bon pauvre, ton vêtement est léger Comme une brume, Oui, mais aussi ton cœur, il est l… Comme une plume, Ton libre cœur qui n’a qu’à plaire…
Telle qu’un moissonneur, dont l’av… Abat le frais bleuet, comme le dur… Telle qu’un plomb cruel qui, dans… Siffle, et, fendant les airs, vous… Telle l’affreuse mort sur un drago…
Quand même tu dirais Que tu me trahirais Si c’était ton caprice, Qu’est-ce que me ferait Ce terrible secret
Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Et la blessure est encore vibrante… Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Ô mon Dieu, votre crainte m’a frap… Et la brûlure est encor là qui ton…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,
Son bras droit, dans un geste aima… Repose autour du cou de la petite… Et son bras gauche suit le rythme… A coup sûr une idée agréable l’occ… Car ses yeux si francs, car sa bou…
Avant que tu ne t’en ailles, Pâle étoile du matin, —Mille cailles Chantent, chantent dans le thym. Tourne devers le poète,
La Vie est triomphante et l’Idéal… Et voilà que, criant sa joie au ve… Le cheval enivré du vainqueur broi… Nos frères, qui du moins tombèrent… Et nous que la déroute a fait surv…
Petit Jésus qu’il nous faut être, Si nous voulons voir Dieu le Père… Accordez-nous d’alors renaître En purs bébés, nus, sans repaire Qu’une étable, et sans compagnie
Chose italienne où Shakspeare a p… Mais que Ronsard fit superbement… Fine basilique au large diocèse, Saint-Pierre-des-Vers, immense et… Elle, ta marraine, et Lui qui t’a…
Il eut des temps quelques argents Et régla ses camarades D’un sexe ou deux, intelligents Ou charmants, ou bien les deux gra… Si que dans les esprits malades
Les longs rideaux de blanche mouss… Que la lueur pâle de la veilleuse Fait fluer comme une vague opaline Dans l’ombre mollement mystérieuse… Les grands rideaux du grand lit d’…