Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Comme l’Église est bonne en ce siè… D’orgueil et d’avarice et de tous… D’exalter aujourd’hui le caché des… Le doux entre les doux à l’ignoran… Et le mortifié sans pair que la F…
Ô Don Quichotte, vieux paladin, g… En vain la foule absurde et vile r… Ta mort fut un martyre et ta vie u… Et les moulins à vent avaient tort… Va toujours, va toujours, protégé…
Petit Jésus qu’il nous faut être, Si nous voulons voir Dieu le Père… Accordez-nous d’alors renaître En purs bébés, nus, sans repaire Qu’une étable, et sans compagnie
Rompons ! Ce que j’ai dit, je ne… Puisque je le pensai, c’est donc q… Je le garderai jusqu’au jour où je… Total, intégral, pur, en dépit des… De la rancœur très haute et de l’o…
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,
(En lui envoyant « Sagesse ») Nul parmi vos flatteurs d’aujourd’… Mieux que moi la fierté d’admirer… Votre nom m’enivrait comme un nom… Votre œuvre, je l’aimais d’un amou…
Quinze longs jours encore et plus… Déjà ! Certes, parmi les angoisse… La plus dolente angoisse est celle… On s’écrit, on se dit que l’on s’a… D’évoquer chaque jour la voix, les…
Hier, on parlait de choses et d’au… Et mes yeux allaient recherchant l… Et votre regard recherchait le mie… Tandis que courait toujours l’entr… Sous le banal des phrases pesées
Je ne t’aime pas en toilette Et je déteste la voilette Qui t’obscurcit tes yeux, mes cieu… Et j’abomine la « tournure » Parodie et caricature,
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
Les violons mêlaient leur rire au… Et le bal tournoyait quand je la v… Avec ses cheveux blonds jouant sur… De son oreille où mon Désir comme… S’élançait et voulait lui parler s…
De toutes les douleurs douces Je compose mes magies ! Paul, les paupières rougies, Erre seul aux Pamplemousses. La Folle-par-amour chante
Pour une bonne fois séparons-nous, Très chers messieurs et si belles… Assez comme cela d’épithalames, Et puis là, nos plaisirs furent tr… Nul remords, nul regret vrai, nul…
L’art ne veut point de pleurs et n… Voilà ma poétique en deux mots : e… De beaucoup de mépris pour l’homme… Contre l’amour criard et contre l’… Je sais qu’il faut souffrir pour m…
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube t… Bonjour en deux baisers, et le pau… Pépia, puis remit sa tête sous son… Et tut pour le moment sa gente rit… Ici je te rendis pour les tiens un…