Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
A José Maria de Heredia Ce poète terrible et divinement do… Plus large que Corneille et plus… Grand comme Eschyle avec ce souff… Ce Calderon mystique et mythique…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Ô Don Quichotte, vieux paladin, g… En vain la foule absurde et vile r… Ta mort fut un martyre et ta vie u… Et les moulins à vent avaient tort… Va toujours, va toujours, protégé…
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
Mon ami, vous m’avez, quoiqu’encor… Vu déjà bien divers, mais ondoyant… Direct et bref, oui : tels les Ju… Ou comme un affamé de la veille dé… Homme de primesault et d’excès, je…
Avant que tu ne t’en ailles, Pâle étoile du matin, —Mille cailles Chantent, chantent dans le thym. Tourne devers le poète,
center Es-tu brune ou blonde ? Sont-ils noirs ou bleus, Tes yeux ? Je n’en sais rien, mais j’aime leu…
Mon fils est mort. J’adore, ô mon… Je vous offre les pleurs d’un cœur… Vous châtiez bien fort et parferez… Qu’alanguissait l’amour pour une c… Vous châtiez bien fort. Mon fils…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Souvenir, souvenir, que me veux-tu… Faisait voler la grive à travers l… Et le soleil dardait un rayon mono… Sur le bois jaunissant où la bise… Nous étions seul à seule et marchi…
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
Du fond du grabat As-tu vu l’étoile Que l’hiver dévoile ? Comme ton cœur bat, Comme cette idée,
Compagne savoureuse et bonne À qui j’ai confié le soin Définitif de ma personne, Toi mon dernier, mon seul témoin, Viens çà, chère, que je te baise,
Ô ! j’ai froid d’un froid de glace Ô ! je brûle à toute place ! Mes os vont se cariant, Des blessures vont criant ; Mes ennemis pleins de joie