Vingt ans après cent ans plus tard
toujours les sordides mousquetaires
toujours les mêmes traîneurs de sabre
toujours les porteurs de bannière
Enfant j’ai vu sur une image
des hommes en robe noire avec un visage vert
debout autour d’un homme qui s’appelait
Ferrer
Oh pauvres hommes vivants
comme vous avez de redoutables adversaires
toujours les mêmes sans un changement
de malheureux bourreaux
semblables à ceux d’avant.