Chanson
#ÉcrivainsFrançais
Un matin dans une cour de la rue de la Colombe ou de la rue des Ursins
Encore une fois sur le fleuve le remorqueur de l’aube a poussé son cri plonge sa grande main chaude dans le décolleté de la nuit et d’un coup lui arrache sa belle robe du soir les épouv...
Les idées sont dans l’air, dans l’… L’air se liquéfie, l’eau s’alourdi… Perplexes, du haut de leur mirador… les commissaires-priseurs avec leur petit marteau d’ivoire
Couleur du temps, c’est la couleur de cet album et si l’oiseau bleu n’apparaît pas flgurativement, il est là tout de même, Peter Cornélius a su le voir et nous le montre ingénument. Par...
Le livre de la terre est en plein… les folioteurs morts en chômage, plus d’images de la mer et ce n’est que coquilles sur les… Encore quelques feuillets
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
C’était dans un quartier de la vil… Lumière Où il fait toujours noir où il n’y… Et l’hiver comme l’été là c’est to… Elle était dans l’escalier
Je m’endors avec des oiseaux plein… Et je rêve d’un jardin Mais si tes yeux sont loin des mie… Je m’endors avec des larmes plein… Et mon rêve s’appelle : chagrin.
Cette nuit-là je regardais la lune Oui j’étais à ma fenêtre et je la regardais et puis j’ai quitté ma fenêtre je me suis déshabillée
Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur il dit oui à ce qu’il aime il dit non au professeur il est debout
Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe
Assis Près du lit défait L’enfant du défunt Près de feu son père Peint de faire du feu
Moi j’avais une lampe et toi la lumière Qui a vendu la mèche ?
Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize... Répétez ! dit le maître Deux et deux quatre
Je suis née toute nue Je vis comme je suis née Je suis née toute petite Si j’ai grandi trop vite Jamais je n’ai changé