Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Le dieu Kneph en tremblant ébranl… Isis, la mère, alors se leva sur s… Fit un geste de haine à son époux… Et l’ardeur d’autrefois brilla dan… « Le voyez-vous, dit-elle, il meur…
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…
Je ne suis plus enfant : trop lent… Déjà dix-sept printemps ont passé… Je possède une lyre, et cependant… N’en tirent dès longtemps que des… Oh ! quand viendra le jour où, lib…
Au printemps l’oiseau naît et chan… N’avez-vous pas ouï sa voix ?... Elle est pure, simple et touchante… La voix de l’oiseau—dans les bois… L’été, l’oiseau cherche l’oiselle…
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
Une femme est l’amour, la gloire e… Aux enfants qu’elle guide, à l’hom… Elle élève le cœur et calme la sou… Comme un esprit des cieux sur la t… Courbé par le travail ou par la de…
Notre-Dame est bien vieille : on… Enterrer cependant Paris qu’elle… Mais, dans quelque mille ans, le… Comme un loup fait un boeuf, cette… Tordra ses nerfs de fer, et puis d…
Voici trois ans qu’est morte ma gr… La bonne femme,—et, quand on l’ent… Parents, amis, tout le monde pleur… D’une douleur bien vraie et bien a… Moi seul j’errais dans la maison,…
L’hiver a ses plaisirs ; et souven… Quand un peu de soleil jaunit la t… Avec une cousine on sort se promen… —Et ne vous faites pas attendre po… Dit la mère. Et quand on a bien,…
La connais-tu, Dafné, cette ancie… Au pied du sycomore, ou sous les l… Sous l’olivier, le myrthe ou les s… Cette chanson d’amour... qui toujo… Reconnais-tu le Temple, au périst…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Napoléon mourant vit une Tête arm… Il pensait à son fils déjà faible… La Tête, c’était donc sa France b… Décapitée aux pieds du César expi… Dieu, qui jugeait cet homme et cet…
Ah ! sous une feinte allégresse Ne nous cache pas ta douleur ! Tu plais autant par ta tristesse Que par ton sourire enchanteur À travers la vapeur légère
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,
On ne sait pas toujours où va port… Et bien des souverains, maladroits… En laissent retomber le coupant su… ... Que d’ennuis sur un front la main…