Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
(Imitée d’Uhland) Oh ! quel doux chant m’éveille ? —Près de ton lit je veille, Ma fille ! et n’entends rien... Rendors-toi, c’est chimère !
Notre-Dame est bien vieille : on… Enterrer cependant Paris qu’elle… Mais, dans quelque mille ans, le… Comme un loup fait un boeuf, cette… Tordra ses nerfs de fer, et puis d…
Mon doux pays des Espagnes Qui voudrait fuir ton beau ciel, Tes cités et tes montagnes, Et ton printemps éternel ? Ton air pur qui nous enivre,
De toutes les belles choses Qui nous manquent en hiver, Qu’aimez-vous mieux ?—Moi, les ro… —Moi, l’aspect d’un beau pré vert… —Moi, la moisson blondissante,
De votre amitié, maître, emportant… Je tiens donc sous mon bras le Rh… Et je me sens grandir par la compa… Mais le Fleuve sait-il lui pauvre… Ce qui lui donne un nom, une sourc…
Je pense à toi, Myrtho, divine en… Au Pausilippe altier, de mille fe… À ton front inondé des clartés d’O… Aux raisins noirs mêlés avec l’or… C’est dans ta coupe aussi que j’av…
Voici trois ans qu’est morte ma gr… La bonne femme,—et, quand on l’ent… Parents, amis, tout le monde pleur… D’une douleur bien vraie et bien a… Moi seul j’errais dans la maison,…
Je suis le ténébreux,—le veuf,—l’i… Le prince d’Aquitaine à la tour a… Ma seule étoile est morte,—et mon… Porte le Soleil noir de la Mélanc… Dans la nuit du tombeau, toi qui m…
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
Dieu est mort ! le ciel est vide..… Pleurez ! enfants, vous n’avez plu… Jean Paul . Quand le Seigneur, levant au ciel… Sous les arbres sacrés, comme font…
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,
Non loin des rivages de France, Il est une île au sein des mers : C’est là que veille l’espérance Et le fléau de l’univers ; Et c’est là, qu’abusant du droit d…
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…