#LesFleursDuMal #ÉcrivainsFrançais
Contemple-les, mon âme ; ils sont… Pareils aux mannequins ; vaguement… Terribles, singuliers comme les so… Dardant on ne sait où leurs globes… Leurs yeux, d’où la divine étincel…
Viens-tu du ciel profond ou sors-t… O Beauté ? ton regard, infernal e… Verse confusément le bienfait et l… Et l’on peut pour cela te comparer… Tu contiens dans ton oeil le couch…
Fière, autant qu’un vivant, de sa… Avec son gros bouquet, son mouchoi… Elle a la nonchalance et la désinv… D’une coquette maigre aux airs ext… Vit-on jamais au bal une taille pl…
Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu’en son appartement, Un beau chat, fort, doux et charma… Quand il miaule, on l’entend à pei… Tant son timbre est tendre et disc…
Ma pauvre muse, hélas ! qu’as-tu d… Tes yeux creux sont peuplés de vis… Et je vois tour à tour réfléchis s… La folie et l’horreur, froides et… Le succube verdâtre et le rose lut…
Mère des souvenirs, maîtresse des… Ô toi, tous mes plaisirs ! ô toi,… Tu te rappelleras la beauté des ca… La douceur du foyer et le charme d… Mère des souvenirs, maîtresse des…
Or Gitche Manito, le Maître de l… Le Puissant, descendit dans la ve… Dans l’immense prairie aux coteaux… Et là, sur les rochers de la Roug… Dominant tout l’espace et baigné d…
Race d’Abel, dors, bois et mange… Dieu te sourit complaisamment. Race de Caïn, dans la fange Rampe et meurs misérablement. Race d’Abel, ton sacrifice
À la très chère, à la très belle Qui remplit mon coeur de clarté, À l’ange, À l’idole immortelle, Salut en l’immortalité ! Elle se répand dans ma vie
Je t’adore à l’égal de la voûte no… Ô vase de tristesse, ô grande taci… Et t’aime d’autant plus, belle, qu… Et que tu me parais, ornement de m… Plus ironiquement accumuler les li…
Quand Don Juan descendit vers l’o… Et lorsqu’il eut donné son obole à… Un sombre mendiant, l’oeil fier co… D’un bras vengeur et fort saisit c… Montrant leurs seins pendants et l…
C’est ici la case sacrée Où cette fille très parée, Tranquille et toujours préparée, D’une main éventant ses seins, Et son coude dans les coussins,
Le vin sait revêtir le plus sordid… D’un luxe miraculeux, Et fait surgir plus d’un portique… Dans l’or de sa vapeur rouge, Comme un soleil couchant dans un c…
Quand je te vois passer, ô ma chèr… Au chant des instruments qui se br… Suspendant ton allure harmonieuse… Et promenant l’ennui de ton regard… Quand je contemple, aux feux du ga…
Ma femme est morte, je suis libre… Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre. Autant qu’un roi je suis heureux ;