#ÉcrivainsFrançais
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
O femme, que veux-tu ? – Parthéno… –Quel est ton crime ? – Aucun. –… –Quels sont tes ennemis ? – Ceux… Hier on m’adorait, aujourd’hui l’o… –Comment dois-tu payer mon hospita…
Toi, qui n’as rien connu, dans ton sanglant passage, Dieu mortel, sous tes pieds les monts courbant leurs têtes Et, debout sur l’airain de leurs foudres guerrières, « Conservez, disaien...
O sommets de Taygète, ô rives du… De la sombre Tempé vallons silenc… Ô campagnes d’Athène, ô Grèce inf… Où sont pour t’affranchir tes guer… Doux pays, que de fois ma muse en…
Debout ! mânes sacrés de mes conci… Venez ; inspirez-les, ces vers où… Debout, morts immortels, héroïques… De la liberté triomphante ! Brûlant, désordonné, sans frein da…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
Silence au camp ! La vierge est p… Par un injuste arrêt Bedfort croi… Jeune encore, elle touche à son he… Silence au camp ! La vierge va pé… Des pontifes divins, vendus à la p…
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
rightRome, villa Paolina. Non, tu ne connais pas encor Ce sentiment d’ivresse et de mélan… Qu’inspire d’un beau jour la splen… Toi qui n’as pas vu les flots d’or…
Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un bruit lointain… C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine vient éclairer
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...
A vous, puissans du monde, à vous,… Qui tenez dans vos mains et la pai… À vous de décider si lassés de sou… Les grecs ont pris le fer pour vai… Si du Tage au Volga, de la Tamis…
Par les flots balancée, une barque… Hier m’avait porté sur ce vaste va… Qui fatiguait le golfe et sa vaine… D’un inébranlable fardeau. Ses longs mâts dans les deux monta…
La sainte vérité qui m’échauffe et… Écarte et foule aux pieds les voil… Ma muse de nos maux flétrira les a… Dussé-je voir briser ma lyre Par le glaive insolent de nos libé…