#ÉcrivainsFrançais
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
Non, tu n’es pas un aigle, ont cri… Quand son vol faible encor trompai… Et déjà sur le dos de ces monstres… Du bec vengeur de l’aigle il impri… Puis, le front dans les cieux de l…
Le flot qui vient blanchir les restes du port Jule Couvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ; « Ils parlent à mes yeux, ils enchaînent mes pas. « Ces lentisques flétris dont la ...
Debout ! mânes sacrés de mes conci… Venez ; inspirez-les, ces vers où… Debout, morts immortels, héroïques… De la liberté triomphante ! Brûlant, désordonné, sans frein da…
« En Europe ! en Europe !-Espére… « –Trois jours, leur dit Colomb,… Et son doigt le montrait, et son o… Perçait de l’horizon l’immensité p… Il marche, et des trois jours le p…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
Par les flots balancée, une barque… Hier m’avait porté sur ce vaste va… Qui fatiguait le golfe et sa vaine… D’un inébranlable fardeau. Ses longs mâts dans les deux monta…
O femme, que veux-tu ? – Parthéno… –Quel est ton crime ? – Aucun. –… –Quels sont tes ennemis ? – Ceux… Hier on m’adorait, aujourd’hui l’o… –Comment dois-tu payer mon hospita…
De Messène au cercueil fille augu… Muse des grands revers et des nobl… Désertant ton berceau, tu pleuras… Comme la Grèce alors la France ét… De Messène au cercueil fille augu…
Toi, qui n’as rien connu, dans ton sanglant passage, Dieu mortel, sous tes pieds les monts courbant leurs têtes Et, debout sur l’airain de leurs foudres guerrières, « Conservez, disaien...
O sommets de Taygète, ô rives du… De la sombre Tempé vallons silenc… Ô campagnes d’Athène, ô Grèce inf… Où sont pour t’affranchir tes guer… Doux pays, que de fois ma muse en…
Un jour que l’océan gonflé par la… Réunissant les eaux de ses fleuves… Fier de tout envahir, marchait à l… De ce vaste univers ; Une voix s’éleva du milieu des ora…
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...