#ÉcrivainsFrançais
Toi, qui n’as rien connu, dans ton sanglant passage, Dieu mortel, sous tes pieds les monts courbant leurs têtes Et, debout sur l’airain de leurs foudres guerrières, « Conservez, disaien...
Sachez envelopper, selon la conven… D’un petit conte aimable, une grav… Il faut d’un peu de miel, avec dex… Couvrir les bords du vase où l’on… Le Tasse nous l’a dit, et ces fou…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
De Messène au cercueil fille augu… Muse des grands revers et des nobl… Désertant ton berceau, tu pleuras… Comme la Grèce alors la France ét… De Messène au cercueil fille augu…
rightRome, villa Paolina. Non, tu ne connais pas encor Ce sentiment d’ivresse et de mélan… Qu’inspire d’un beau jour la splen… Toi qui n’as pas vu les flots d’or…
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...
La sainte vérité qui m’échauffe et… Écarte et foule aux pieds les voil… Ma muse de nos maux flétrira les a… Dussé-je voir briser ma lyre Par le glaive insolent de nos libé…
Adieu Madeleine Chérie, Qui te réfléchis dans les eaux, Comme une fleur de la prairie Se mire au cristal du ruisseau. Ta colline, où j’ai vu paraître
Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un bruit lointain… C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine vient éclairer
Par les flots balancée, une barque… Hier m’avait porté sur ce vaste va… Qui fatiguait le golfe et sa vaine… D’un inébranlable fardeau. Ses longs mâts dans les deux monta…
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
« Tu nous rends nos derniers signa… Le long du bord le câble crie ; L’ancre s’élève et sort des eaux ; La voile s’ouvre ; adieu, patrie ! « Des flots l’un par l’autre heurt…
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
Debout ! mânes sacrés de mes conci… Venez ; inspirez-les, ces vers où… Debout, morts immortels, héroïques… De la liberté triomphante ! Brûlant, désordonné, sans frein da…
Mon bien-aimé, dans mes douleurs, Je viens de la cité des pleurs, Pour vous demander des prières. Vous me disiez, penché vers moi : « Si je vis, je prîrai pour toi. »