Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Jusqu’au jour, ô Pologne ! où tu… Quelque désastre affreux, comme ce… Quelque Missolonghi d’une nouvell… Quoi que tu puisses faire, on ne t… Battez-vous et mourez, braves gens…
Bonjour, Suzon, ma fleur des bois… Es-tu toujours la plus jolie ? Je reviens, tel que tu me vois, D’un grand voyage en Italie. Du paradis j’ai fait le tour ;
Sonnet. C’est mon avis qu’en route on s’ex… Au vent, à la poussière, et qu’on… S’éveiller chiffonnée avec un mauv… Et qu’à la longue, en poste, un tê…
Avez-vous vu, dans Barcelone, Une Andalouse au sein bruni ? Pâle comme un beau soir d’automne… C’est ma maîtresse, ma lionne ! La marquesa d’Amaëgui !
Chanson. À Saint-Blaise, à la Zuecca, Vous étiez, vous étiez bien aise À Saint-Blaise. À Saint-Blaise, à la Zuecca,
Ô ciel ! je vous revois, madame, De tous les amours de mon âme Vous le plus tendre et le premier. Vous souvient-il de notre histoire… Moi, j’en ai gardé la mémoire :
Avec tout votre esprit, la belle i… Avec tous vos grands airs de rigue… Qui nous font tant de mal et qui v… Il n’en est pas moins vrai que vou… Il n’en est pas moins vrai que, sa…
Si vous croyez que je vais dire Qui j’ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde,
Adieu, Suzon, ma rose blonde, Qui m’as aimé pendant huit jours ; Les plus courts plaisirs de ce mon… Souvent font les meilleurs amours. Sais-je, au moment où je te quitte…
Jamais, avez-vous dit, tandis qu’a… Résonnait de Schubert la plaintiv… Jamais, avez-vous dit, tandis que,… Brillait de vos grands yeux l’azur… Jamais, répétiez-vous, pâle et d’u…
Jeune ange aux doux regards, à la… Un instant près de vous je suis ve… Et, l’orage apaisé, comme l’oiseau… Mon bonheur s’en alla, n’ayant dur… Et puis, qui voulez-vous après qui…
Sonnet. Sous ces arbres chéris, où j’allai… Pour cueillir, en passant, seul, u… Sous ces arbres charmants où votre… Disputait au printemps tous les pa…
J’ai dit à mon cœur, à mon faible… N’est-ce point assez d’aimer sa ma… Et ne vois-tu pas que changer sans… C’est perdre en désirs le temps du… Il m’a répondu : Ce n’est point a…
Rondeau. Il est aisé de plaire à qui veut p… D’un ignorant un bavard écouté, D’un journaliste un rimailleur van… Sans nulle peine y trouvent leur a…
Vous connaissez que j’ai pour mie Une Andalouse à l’oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu’au matin. Voyez-la, quand son bras m’enlace,