Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Lorsque le grand Byron allait qui… Et chercher sur les mers quelque p… Où finir en héros son immortel enn… Comme il était assis aux pieds de… Pâle, et déjà tourné du côté de la…
Sonnet. Il faut, dans ce bas monde, aimer… Pour savoir, après tout, ce qu’on… Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’a… Les femmes, les chevaux, les lauri…
Sonnet. C’est mon avis qu’en route on s’ex… Au vent, à la poussière, et qu’on… S’éveiller chiffonnée avec un mauv… Et qu’à la longue, en poste, un tê…
Te voilà revenu, dans mes nuits ét… Bel ange aux yeux d’azur, aux paup… Amour, mon bien suprême, et que j’… J’ai cru, pendant trois ans, te va… Et toi, les yeux en pleurs, avec t…
Nina, ton sourire, Ta voix qui soupire, Tes yeux qui font dire Qu’on croit au bonheur, Ces belles années,
Dans Venise la rouge, Pas un bateau qui bouge ; Pas un pêcheur dans l’eau, Pas un falot. Seul, assis à la grève,
Vous connaissez que j’ai pour mie Une Andalouse à l’oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu’au matin. Voyez-la, quand son bras m’enlace,
À Saint-Blaise, à la Zuecca, Vous étiez, vous étiez bien aise À Saint-Blaise. À Saint-Blaise, à la Zuecca, Nous étions bien là.
Ballade. La corde nue et maigre, Grelottant sous le froid Beffroi, Criait d’une voix aigre
Chanson. Nous venions de voir le taureau, Trois garçons, trois fillettes. Sur la pelouse, il faisait beau, Et nous dansions un boléro
De ta source pure et limpide Réveille-toi, fleuve argenté ; Porte trois mots, coursier rapide… Amour, patrie et liberté ! Quelle voile, au vent déployée,
L’heure de ma mort, depuis dix-hui… De tous les côtés sonne à mes orei… Depuis dix-huit mois d’ennuis et d… Partout je la sens, partout je la… Plus je me débats contre ma misère…
Dans DIX ans d’ici seulement, Vous serez un peu moins cruelle. C’est long, à parler franchement. L’amour viendra probablement Donner à l’horloge un coup d’aile.
Yung-Frau, le voyageur qui pourra… S’arrêter, et poser le pied sur sa… Sentirait en son coeur un noble ba… Quand son âme, au penchant de ta n… Pareille au jeune aiglon qui passe…
Jusqu’à présent, lecteur, suivant… Je te disais bonjour à la première… Mon livre, cette fois, se ferme mo… En vérité, ce siècle est un mauvai… Tout s’en va, les plaisirs et les…