Pahil prma (Étincelle)
|L'Origine du Feu|
Il ne reste de nous que des cendres,
Mais il me semble, que le feu descend,
De tes semblants et actions indécentes.
Tu as vu le brasier et l’a embrasé,
Tu m’as enlacé même embrassé,
Puis tu m’as lâché et dans ta lâcheté,
Tu n’as même pas pris la peine,
De prendre conscience de ma peine,
Donc il en découle de la haine,
Qui m’étouffe comme de la laine,
Sous un soleil donnant la migraine.
Tu m’as détruit, tu m’as dégoûté,
Puis tu as fuit, j’en étais dérouté.
Je crois quand même que le pire,
C’est quand tu as voulu revenir,
Et que tu as osé à tous nous dire,
Que tu ignorais ce que tu m’avais fait subir.
Quel culot, tout ceci me révolte,
Tu es un mulot, tu bousilles mes récoltes.
A cause de toi j’ai peur de mes notes,
Je cherche l’amour chez chacune de mes proches.
Seul lui peut me combler, c’est la pensée,
Quitte à m’abandonner, c’est insensé,
Je dois le trouver, le garder, et le forcer,
Être seul et isolé, c’est du passé.
Mais l’amour est un bloc de savon,
Si tu les cherches, sache qu’ils s’en vont.
Cultive l’amour propre, ils reviendront,
Je ne ferai pas l’affront, de parler de papillons.
