Adam T.

Déesse

Je suis pétrifié par ton corps de déesse,
Là, chaque fois que tu passes près de moi,
Ta divine beauté me laisse sans voix,
Tant elle m’éblouit, m’enflamme sans cesse.
 
A travers tes yeux d’émeraudes je meurs,
Ceux-ci sont du plus parfait vert qui existe,
Ton visage paraît si surréaliste,
Irrémédiablement il perce mon cœur.
 
Tes beaux cheveux d’or, de soleil, de lumière,
Par leur suprême éclat aussitôt m’envoûtent,
Devant tel éclair mon esprit se déroute,
Et mon âme inévitablement se perd.
 
La douce blancheur de ta peau me fascine,
Tel un ange elle te rend si bénie, pure,
D’un charme plus tranchant que l’Excalibur,
Et sa sublime élégance m’assassine.
 
Tes belles courbes sont si voluptueuses,
Aphrodite et Vénus en seraient jalouses
Tant elles nous prennent comme des ventouses,
Et tes jambes-là sont si majestueuses.
 
Ta fine taille est tellement séduisante,
Ta noble poitrine me fait si rougir,
Tes superbes cuisses me tuent de désir,
Tant leur sensualité m’est enivrante.
 
Lorsque je frôle ta sculpturale main,
D’exquis frissons parcourent mon corps soumis,
Intérieurement, de plaisir je gémis
Par tes mouvements prestes et surhumains.

Poème XXVI du recueil "La Léa"

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