#ÉcrivainsFrançais
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
Tu as été sculptée à une proue, Le temps t’a corrodée comme eût fa… Il a fermé tes yeux une nuit d’ora… Il a taché de sel ton sein presque… O sainte aux mains brûlées que rec…
Il y a sans doute toujours au bout… Où je marchais enfant une mare d’h… Un rectangle de lourde mort sous l… Depuis la poésie A séparé ses eaux des autres eaux.
L’été passa violent dans les salle… Ses yeux étaient aveugles, son fla… Il cria, et l’appel bouleversa le… De ceux qui dormaient là au simple… Ils frémirent.
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Je ne savais dormir sans toi, je n… Risquer sans toi les marches desce… Plus tard, j’ai découvert que c’es… Cette terre aux chemins qui tomben… Alors je t’ai voulue au chevet de…
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
On dit qu’un dieu chercha Sur les eaux closes Comme un rapace veut Sa proie lointaine Et d’un cri répété,
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Dis-tu qu’il se tenait sur l’autre… Dis-tu qu’il te guettait à la fin… L’oiseau dans l’arbre de silence a… De son chant vaste et simple et av… Il conduisait
UNE VOIX Tu fus sage d’ouvrir, il vint à la… UNE AUTRE VOIX La première venue en forme d’oisea… UNE voix
Ce souvenir me hante, que le vent… D’un coup, là-bas, sur la maison f… C’est un grand bruit de toile par… On dirait que l’étoffe de la coule… Vient de se déchirer jusqu’au fond…
Es-tu venu par besoin de ce lieu, De ce lieu seul, ravin, porte dres… Au-dessus du levant et du couchant Comme passe la barque d’un autre m… Entre, je te permets presque une h…
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…