#ÉcrivainsFrançais
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
Un dernier cerf se perdant Parmi les arbres, Le sable retentira Du pas d’obscurs arrivants. Dans la maison traversée
L’orage qui s’attarde, le lit défa… La fenêtre qui bai dans la chaleur Et le sang dans sa fièvre : je rep… La main proche à son rêve, la chev… A son anneau de barque retenue
La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…
Ainsi marcherons-nous sur les ruin… immense, Le site au loin s’accomplira Comme un destin dans la vive lumiè… Le pays le plus beau longtemps che…
Heurte, Heurte à jamais. Dans le leurre du seuil. A la porte, scellée. A la phrase, vide.
Tu demandes le nom De cette maison basse délabrée. C’est Jean et Jeanne en un autre pays
Rayures bleues et noires. Un labour qui dévie vers le bas du… Le lit, vaste et brisé comme le fl… Vois, c’est déjà le soir, Et le feu parle auprès de nous dan…
Tu sauras qu’il te tient dans l’ât… Tu sauras qu’il te parle, et remua… Les cendres de ton corps avec le f… Tu sauras qu’il est seul et ne s’a… Lui qui a tant détruit ; qui ne sa…
Es-tu venu par besoin de ce lieu, De ce lieu seul, ravin, porte dres… Au-dessus du levant et du couchant Comme passe la barque d’un autre m… Entre, je te permets presque une h…
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Nous sommes revenus à notre origin… Ce fut le lieu de l’évidence, mais… Les fenêtres mêlaient trop de lumi… Les escaliers gravissaient trop d’… Qui sont des arches qui s’effondre…
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…