Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Ciel ! après tes splendeurs, qui r… Liberté sainte ; après toutes ces… Tourbillon inouï ; Après ce Marengo qui brille sur l… Et qui ferait lâcher le premier B…
« M.… Napoléon le Petit, et qui renferm… On raconte qu’un des jours de la s… Saint-Cloud. Lorsque Louis-Napol… du mépris sur les lèvres, puis s’a…
Que devant les coquins l’honnête h… Que l’histoire soit laide et plate… Boîte avec Talleyrand ou louche a… Qu’un tour d’escroc bien fait ait… Que le pape en massue ait changé s…
Parfois, je me sens pris d’horreur… Mon vers semble la bouche ouverte… J’ai le farouche émoi Que donne l’ouragan monstrueux au… Mon cœur prend feu ; je sens tout…
Dieu prit sa plus molle argile Et son plus pur kaolin, Et fit un bijou fragile, Mystérieux et câlin. Il fit le doigt de la femme,
On croyait dans ces temps où le pâ… Loin dans l’air, au-dessus de son… Voyait parfois, témoin par l’ombre… Dans un noir tourbillon de tonnerr… Passer rapidement la figure ébloui…
Aux environs de Paris. Midi chauffe et sèche la mousse ; Les champs sont pleins de tambouri… On voit dans une lueur douce Des groupes vagues et sereins.
Dieu. À travers ce qu’on sent confusémen… C’est lui qui fait trembler, c’est… L’oeil sous le cil baissé, l’eau s… Le rayon de la lune au bas des mon…
Le prê… Lorsque les saints flambeaux pour… Et de leurs longs cheveux voilant… Les jeunes filles pleureront. <…
L’enfant, voyant l’aïeule à filer… Veut faire une quenouille à sa gra… L’aïeule s’assoupit un peu ; c’est… L’enfant vient par derrière et tir… Un brin de la quenouille où le fus…
IX. Toi qu’aimait Juvénal gonflé de l… Toi dont la clarté luit dans l’oei… Muse Indignation, viens, dressons… Dressons sur cet empire heureux et…
Quand l’eunuque régnait à côté du… Quand Tibère, et Caïus, et Néron… Foulaient Rome, plus morte, hélas… Le poète saisit ces bourreaux sur… La muse entre deux vers, tout viva…
Enfants ! fils des héros disparus… Qui firent mon pays plus grand que… Et qui s’en sont allés, dans l’abî… Vous que nous voyons rire et jouer… Sur vos fronts innocents la sombre…
Moi, que je sois royaliste ! C’est à peu près comme si Le ciel devait rester triste Quand l’aube a dit : Me voici ! Un roi, c’est un homme équestre,
Quand tout se fait petit, femmes,… En vain, aux murs sanglants accroc… Ils ont ouvert le bal et la danse… Devant ces scélérats transformés e… Vous haussez,—châtiment !—vos char…