N’attendez pas de moi que je vais… Des raisons contre Dieu que je vo… La nuit meurt, l’hiver fuit ; main… Dans les champs, dans les bois, es… Je suis par le printemps vaguement…

II. Tout était d’accord dans les plain… Tout était d’accord dans les bois Avec la douceur des haleines, Avec le mystère des voix.

À qui donc le grand ciel sombre Jette-t-il ses astres d’or ? Pluie éclatante de l’ombre, Ils tombent...?—Encor ! encor ! Encor !—lueurs éloignées,

Jouissez du repos que vous donne l… Vous étiez autrefois des coeurs tr… Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la h… Vos bouches, d’où sortait la vapeu…

Il neigeait. On était vaincu par… Pour la première fois l’aigle bais… Sombres jours ! l’empereur revenai… Laissant derrière lui brûler Mosc… Il neigeait. L’âpre hiver fondait…

Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…

Hier, la nuit d’été, qui nous prêt… Etait digne de toi, tant elle avai… Tant son calme était frais ! tant… Tant elle éteignait bien ses rumeu… Tant elle répandait d’amoureuses r…

Ces hommes passeront comme un ver… Qu’est-ce que tu ferais de leur sa… Le dégoût rend clément. Retenons la colère âpre, ardente,… Peuple, si tu m’en crois, tu prend…

Des sabres sont partout posés sur… L’autel ment. On entend ceux qu’o… Jurer, d’un front tranquille et sa… De faux serpents qui font, tant il… Tant ils sont monstrueux, effroyab…

Maintenant que Paris, ses pavés e… Et sa brume et ses toits sont bien… Maintenant que je suis sous les br… Et que je puis songer à la beauté… Maintenant que du deuil qui m’a fa…

Approchez-vous. Ceci, c’est le ta… Cela hurle en grinçant un benedica… C’est laid, c’est vieux, c’est noi… Pères fouetteurs du siècle, à gran… Ils nous mènent au ciel. Ils font…

Chacun choisit un homme, et moi j’… Oui, j’ai, pour l’expliquer à la f… Pris le plus grand poème et le plu… Je ne lis pas du grec ni du latin… Les horizons brumeux, les soirs do…

À cette terre, où l’on ploie Sa tente au déclin du jour, Ne demande pas la joie. Contente-toi de l’amour ! Excepté lui, tout s’efface.

Son silence fut mon vainqueur ; C’est ce qui m’a fait épris d’elle… D’abord je n’avais dans le coeur Rien qu’un obscur battement d’aile… Nous allions en voiture au bois,