Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
GASTIBELZA, l’homme à la cara… Chantait ainsi : « Quelqu’un a-t-il connu doña Sab… Quelqu’un d’ici ? Dansez, chantez, villageois ! la n…
N’attendez pas de moi que je vais… Des raisons contre Dieu que je vo… La nuit meurt, l’hiver fuit ; main… Dans les champs, dans les bois, es… Je suis par le printemps vaguement…
Une terre au flanc maigre, âpre, a… Où les vivants pensifs travaillent… Et qui donne à regret à cette race… Un peu de pain pour tant de labeur… Des hommes durs, éclos sur ces sil…
Millions, millions, et millions d’… Je suis, dans l’ombre affreuse et… La splendide forêt des constellati… C’est moi qui suis l’amas des yeux… L’épaisseur inouïe et morne des lu…
Where… BYRON. Quand le livre où s’endort chaque… Quand l’air de la maison, les souc… Quand le bourdonnement de la ville…
IX. Toi qu’aimait Juvénal gonflé de l… Toi dont la clarté luit dans l’oei… Muse Indignation, viens, dressons… Dressons sur cet empire heureux et…
Il est dans l’atrium, le beau roue… La roue agile est blanche, et la q… La quenouille est d’ébène incrusté… Il est dans l’atrium sur un riche… Un ouvrier d’Egine a sculpté sur…
Fuis l’éden des anges déchus ; Ami, prends garde aux belles fille… Redoute à Paris les fichus, Redoute à Madrid les mantilles. Tremble pour tes ailes, oiseau,
VII. Une nuit,—c’est toujours la nuit d… Il s’éveilla. Luisant comme un hi… D’étranges visions emplissaient sa… Des rires éclataient sous son plaf…
Mon âme est faite ainsi que jamais… Ni l’homme, quels qu’ils soient, n… Toujours mon cœur, qui n’a ni bibl… Dédaigna le sophiste et brava le t… Je suis sans épouvante étant sans…
Quand vous vous assemblez, bruyant… Pour aller le traquer jusqu’en sa… Vous excitant l’un l’autre, acharn… –Ne le sentez-vous pas ? – le peup… Qui rêvait à vos cris un dragon da…
À qui donc le grand ciel sombre Jette-t-il ses astres d’or ? Pluie éclatante de l’ombre, Ils tombent...?—Encor ! encor ! Encor !—lueurs éloignées,
Oui. Je comprends qu’on aille aux… Qu’on soit foule, qu’on brille aux… Qu’on fasse, amis, ce que vous fai… Et qu’on trouve cela joyeux ; Mais vivre seul sous les étoiles,
Oh ! que ne suis-je un de ces homm… Qui, géants d’un siècle effacé, Jusque dans le siècle où nous somm… Règnent du fond de leur passé ! Que ne suis-je, prince ou poète,
Soit lointaine, soit voisine, Espagnole ou sarrazine, Il n’est pas une cité Qui dispute sans folie A Grenade la jolie