Ici-bas tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont c… Je rêve aux étés qui demeurent Toujours... Ici-bas les lèvres effleurent

Sonnet. Fors l’amour, tout dans l’art semb… Le génie auprès d’elle est toujour… Orphée allait chantant, suivi d’un… Dont il croyait leurrer l’inexorab…

Le dimanche, au salon, pêle-mêle s… Des bourgeois ébahis la bizarre co… Qui s’en vient, chaque année, à la… Vainement amuser ses aveugles rega… Ainsi devant le beau, dont il ne s…

Sonnet. Chaque nuit, tourmenté par un dout… Je provoque le sphinx, et j’affirm… Plus terrible se dresse aux heures… L’inconnu monstrueux qui hante mon…

Sonnet. Le fond de l’océan ravit l’œil des… Mystérieux printemps, Éden multico… Qui tressaille en silence et ne ce… Aux frais courants, zéphyrs des gl…

Tout seul au plus profond d’un boi… Dans un fouillis de ronce et d’her… Se dresse, oublié, mais superbe, Un grand vase du temps des rois. Beau de matière et pur de ligne,

À Francisque Gerbault. Bleus ou noirs, tous aimés, tous b… Des yeux sans nombre ont vu l’auro… Ils dorment au fond des tombeaux, Et le soleil se lève encore.

Les lèvres qui veulent s’unir, À force d’art et de constance, Malgré le temps et la distance, Y peuvent toujours parvenir. On se fraye toujours des routes ;

Sonnet. Ceux qui sont morts d’amour ne mon… Ils n’auraient plus les soirs, les… Et ne goûteraient pas, aux demeure… Un miel qui du baiser pût effacer…

Sonnet. Errante, elle demande aux enfants… Une fleur qu’elle a vue un jour en… Frêle, petite et sombre, une fleur… Au parfum pénétrant comme un aveu…

Je n’aime pas les maisons neuves : Leur visage est indifférent ; Les anciennes ont l’air de veuves Qui se souviennent en pleurant. Les lézardes de leur vieux plâtre

Nul troupeau n’erre ni ne broute ; Le berger s’allonge à l’écart ; La poussière dort sur la route, Le charretier sur le brancard. Le forgeron dort dans la forge ;

Sonnet. Vous me donniez le bras, nous caus… Et les cœurs de vingt ans se font… J’en suis encore ému, fille blonde… Mais vous souviendrez-vous de ma c…

En tes yeux nage une factice opale… Et le charbon t’allonge les sourci… Mais ton regard sans douceur n’est… Sous tes gros cils de sépia noirci… Ah ! Pauvre femme, il règne un fr…

Je ne dois plus la voir jamais, Mais je vais voir souvent sa mère… C’est ma joie, et c’est la dernièr… De respirer où je l’aimais. Je goûte un peu de sa présence