Ainsi que ma douleur est au cœur d… Ta douleur, bien-aimée, est au cœu… Et, comme mon chagrin saigne au fo… Au fond de mon chagrin saigne enco… Quand ma peine paraît de souffrir…
Je déménage, un nouveau départ, solitaire et célibataire, ma présence en ce lieu inconnu me… cette ville me regarde du coin de…
Cher petit oreiller, doux et chaud… Plein de plume choisie, et blanc !… Quand on a peur du vent, des loups… Cher petit oreiller, que je dors b… Beaucoup, beaucoup d’enfants pauvr…
Le rythme argentin de ta voix Dans mes rêves gazouille et tinte. Chant d’oiseau, bruit de source au… Qui réveillent ma joie éteinte. Mais les bois n’ont pas de frisson…
Le teint de lait du panache au mom… Entre les avenues l’étoile et les… Au lieu de gouttes d’eau c’est le… Le monument s’ébroue Le matin se soulève et retombe un…
Que veux-tu répondre au vent qui s… Au vent qui te dit le chagrin des… Le trépas des lis, des lilas, des… Et des clairs essaims gelés dans l… Que veux-tu répondre au vent qui s…
Le grand Lion est mort. Il reste… Les fouines, les chiens, les rats… Ces bêtes ne sont pas absolument i… Elles savent manger nos plus sales… Et peuvent nettoyer nos plus puant…
Sans feu Paris ne peut plus vivre… Il court, tout crispé de frissons, Secouant sa barbe de givre Et son lourd manteau de glaçons. Sous la laine où le vent pénètre,
Ô ciel natal ! toi que j’admire en… Lorsque l’hiver se couche aux pied… Sommets glacés, où rayonne l’auror… Sublime autel des vœux que nous fo… Votre beauté s’assombrit sous la n…
Bel arbre, je viens effacer Ces noms gravés sur ton écorce, Qui par un amoureux divorce Se reprennent pour se laisser. Ne parle plus d’Éléonore ;
Sonnet. Elle part, mais je veux, à mon amo… La garder tout entière en un pieux… Portrait naïf où rien ne me sera s… Des grâces, des défauts, chers aus…
À Gustave Gœtschy. Pourquoi donc rougit la pucelle En face de l’adolescent ? Pourquoi ce rire languissant Et cette allure qui chancelle ?
Hypocrisie masquée J’ai longtemps cru en l’existence… J’ai rêvé que l’amour rallierai to… C’est une illusion stupide qui m’a… L’esprit naïf, j’ai cru que l’homm…
Vous portez, mon bel officier, Avec une grâce parfaite, Votre sabre à garde d’acier ; Mais je songe à notre défaite. Cette pelisse de drap fin
Emporte moi jusqu’au noir Dont toute lumière s’échappe Jusqu’à tes pupilles funestes Nid de ma rancune Je m’endors sous l’ombre
Ma demeure est bâtie au bord de la… Les grèbes, les pétrels et les bla… Entrecoupent leurs vols parmi ses… Dont les flèches de fer criaillent… Du côté de la mer, le lichen la re…
Que me veux-tu donc, femme trois f… Moi qui te croyais un si bon enfan… –De l’amour ?... – Allons : cherc… M’aimer aussi, toi !... moi qui t’… Oh ! je t’aimais comme... un lézar…
L’Aigle donnait la chasse à maîtr… Qui droit à son terrier s’enfuyait… Le trou de l’Escarbot se rencontr… Je laisse à penser si ce gîte Etait sûr ; mais ou mieux ? Jean…
À Démètre Perticari. Des parfums, des fleurs, des schal… Dans un château vaste. Des amants heureux sur tous les pa… Gens de haute caste.
Lasse enfin de courir, vagabonde p… Ne reprendras-tu point ton allure… Ton pas doit-il fouler le pavé des… Et ta main, sans pudeur, toucher t… N’as-tu pas regretté, dans tes lab…
Je voudrais posséder pour dire tes… Le plain-chant triomphal des vague… Ou les poumons géants des vents in… Je voudrais dominer les lourds éch… Qui jettent, dans la nuit des paro…
Le marais dort, crispé d’un gel ta… Dans la brume qui s’épaissit et se… Tour à tour, la Sologne étend sa… Nous sommes là depuis une heure, l… Et tout à coup, tandis qu’une étoi…
Les roses d’Ispahan dans leur gaî… Les jasmins de Mossoul, les fleur… Ont un parfum moins frais, ont une… Ô blanche Leïlah ! que ton souffle… Ta lèvre est de corail, et ton rir…
Sonnet. À mesure que l’on s’élève Au-dessus des mornes terrains, On sent le poids de ses chagrins Se désalourdir comme en rêve.
La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
Une longue aiguille traverse le ro… Un arbre Un doigt La lune borgne Une fenêtre qui nous lorgne
C’est le grand jour des mascarades… Le bon public prend ses ébats, Et partout sur nos promenades Il fait cortège au mardi gras. Au froid, sur la dalle fangeuse,
Sais tu ce qui me fascine a coup sur ton sourire qui me rani… au surplus, est-ce trop de demande… Je le cherchais depuis toujours réveillant par tes tendres touches
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Au village, en juillet. Un soleil… Ses lunettes au nez, le vieux char… Répare, près du seuil, un timon de… Le curé tout à l’heure a traversé… Nu-tête. Les trois quarts ont son…