à larges coups d’épée de sisal de… à grands coups fauves de tes bras… à ton gré batéké de tes bras de re… de don qui frappent de clairvoyanc… les espaces aveugles baignés d’ois…
Place du Carrousel vers la fin d’un beau jour d’été le sang d’un cheval accidenté et dételé ruisselait
Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest… Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie
Le soleil s’est couvert d’un crêpe… Ô Lune de ma vie ! emmitoufle-toi… Dors ou fume à ton gré ; sois muet… Et plonge tout entière au gouffre… Je t’aime ainsi ! Pourtant, si tu…
Tout jeune Napoléon était très ma… et officier d’artillerie plus tard il devint empereur alors il prit du ventre et beaucou… et le jour où il mourut il avait e…
Un homme entre chez une fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent
Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! La boule de neige
tête trophée membres lacérés dard assassin beau sang giclé ramages perdus rivages ravis enfances enfances conte trop remué… ô assassin attardé
Le soleil gît sur le sol Litre de vin rouge brisé Une maison comme un ivrogne Sur le pavé s’est écroulée Et sous son porche encore debout
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
Maître Corbeau, sur un arbre perc… Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l’odeur alléch… Lui tint à peu près ce langage : “ Hé ! bonjour, Monsieur du Corbe…
Au milieu, l’Empereur, dans une a… Bleue et jaune, s’en va, raide, su… Flamboyant ; très heureux,– car il… Féroce comme Zeus et doux comme u… En bas, les bons Pioupious qui fa…
Le nom grandit quand l’homme tombe… Jamais rien de tel n’avait lui. Calme, il écoutait dans sa tombe La terre qui parlait de lui. La terre disait : « La victoire
Parmi l’arbre, la brise berce La vipère que je vêtis ; Un sourire, que la dent perce Et qu’elle éclaire d’appétits, Sur le Jardin se risque et rôde,
La femelle ? elle est morte. Le mâle ? un chat l’emporte Et dévore ses os. Au doux nid qui frissonne Qui reviendra ? personne.
À Josep… Cuncta… HORACE. Dans une grande fête, un jour, au… J’avais sept ans, je vis passer N…
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Le lion dort, seul sous sa voûte. Il dort de ce puissant sommeil De la sieste, auquel s’ajoute, Comme un poids sombre, le soleil. Les déserts, qui de loin écoutent,
A manger son propre sang En tartine sur du pain A boire l’eau de l’étang Où les morts prennent leur bain A prononcer des paroles
Que veux-tu que je devienne Je me sens mourir Secours-moi Ah Paris... le
Sonnet. Sous ces arbres chéris, où j’allai… Pour cueillir, en passant, seul, u… Sous ces arbres charmants où votre… Disputait au printemps tous les pa…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Mes fils, soyez contents ; l’honne… Et vous, mes deux amis, la gloire,… Couronne votre nom par l’affront d… Offrez aux juges vils, groupe abje… Toi, ta douceur intrépide,
C’est un Breton qui revient au pays natal Après avoir fait plusieurs mauvais… Il se promène devant les fabriques… Douarnenez
Chaque enfant qu’on enseigne est u… Quatre-vingt-dix voleurs sur cent… Ne sont jamais allés à l’école une… Et ne savent pas lire, et signent… C’est dans cette ombre-là qu’ils o…
L’amour est une science Et de toi j’ai tout appris Et j’écoute ton silence Que je n’avais pas compris. T’ai-je mal aimé cher ange !
Si vous n’avez rien à me dire, Pourquoi venir auprès de moi ? Pourquoi me faire ce sourire Qui tournerait la tête au roi ? Si vous n’avez rien à me dire,
Qu’était-ce que l’enfant ? qu’étai… Je l’ignorais. C’était la saison… Qui nous enchante ; et n’a qu’un d… Avril. De ma mansarde, entr’ouver… Je regardais, à l’heure où le jour…